vendredi 5 décembre 2008

Tout connaître sur les OGM

COMPRENDRE LES OGM

Résumé:
Qui, parmi le grand public, peut se vanter de
vraiment comprendre le phénomène OGM après avoir fait l’effort de
s’informer réellement ? Très peu de monde, sans doute.
C’est pourquoi nous avons souhaité apporter notre modeste
contribution au débat sur ce sujet – ô combien controversé – en
organisant cette rencontre avec un chercheur ayant compris que tout
exposé sur les OGM passe d’abord par une information sur les
fondements scientifiques du problème.
La vulgarisation du savoir – surtout quand il est pointu – est un art
difficile. Ceci étant dit, cette rencontre a pour ambition de donner
au public un aperçu aussi clair que possible de la problématique des
OGM.
Qu’est-ce qu’un OGM ? Quelles sont les recherches, les applications
envisageables, les pistes à envisager, les essais en recherche
fondamentale et en laboratoire ? Qu’en est-il de la dispersion
d’organismes modifiés ? Quelles peuvent être les conséquences de
l’hybridation et des transferts de gênes dans le monde végétal ?
Autant de questions que Christian Velot et Hugues Mouret
s’efforceront d’aborder afin de dresser le vrai bilan des certitudes
et des inconnues liées aux OGM.
(commentaire extraits de "la television paysanne" http://www.latelevisionpaysanne.fr

Intervenants :
Christian Vélot : Docteur en biologie, Maître de conférences en Génétique Moléculaire à l’Université Paris-Sud, Membre du Conseil Scientifique du Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le Génie Génétique (CRIIGEN) :















dimanche 30 novembre 2008

Opération "boite à chaussure"

L'asbl "Les Samaritains" a distribué 2850 et 6265 boîtes à chaussures cadeaux, respectivement en 2006 et 2007, aux plus nécessiteux de la gare Centrale, aux Restos du Coeur et à d'autres associations oeuvrant pour la même cause.

Cette année encore, notre asbl "Les Samaritains" organise l'opération boîte à chaussures/shoe box. Il s'agit de remplir une boîte à chaussures "standard" de petites gâteries c'est-à-dire :

quelques articles, tels que par exemple :
  • biscuits divers, chocolat, bonbons
  • conserves non périssables et prêtes à manger tout de suite (à ne pas devoir réchauffer et à pouvoir ouvrir sans ouvre-boîtes)
  • salades de fruits
  • poissons
  • viandes
  • saladières
  • riz au lait
  • boisson sans alcool
  • etc.
Pas d'alcoolPas de produits d'entretiensPas de vivres à réchaufferLes conserves doivent pouvoir s'ouvrir à la mainLes conserves doivent pouvoir s'ouvrir à la mainJoindre une carte ou un petit mot pour la personne qui  recevra la boîte

Emballer cette boite, comme un cadeau, en ajoutant un petit mot, afin de souhaiter une bonne fête à la personne qui le recevra.

Cette boîte sera offerte à un SDF dans la gare centrale à Bruxelles, ainsi qu'à des familles démunies, fréquentant différentes associations oeuvrant sur tout le territoire belge.

C'est une idée originale à proposer dans une société, une école ou un groupement scout par exemple et avec un peu de bon sens, elle est relativement simple à réaliser !

Pour les fidèles compagnons de nos plus démunis, de la nourriture et gâteries pour chiens et chats sont également bienvenus. Merci de NE PAS l'emballer dans une boîte à chaussure mais de la mettre tout simplement dans un sac à part.

pour en savoir plus:

http://www.shoe-box.be/

vendredi 10 octobre 2008

Ferme bio ou centre d'enfouissement de déchets???

La Tribu des Pas Fous en confolentais du hameau du Chêne à Ansac-sur-vienne à besoin d'un maximum de soutien pour pouvoir réaliser son projet, et aussi préserver des terres agricoles et des réserves d'eau d'une pollution sans doute irréversible.


"Nous sommes des paysans sans terre. Depuis quelques années, nous cherchons en vain à acquérir des terres pour vivre de notre travail. A chaque fois, nous nous heurtons aux avis défavorables de la plupart des instances agricoles. Nos projets atypiques ne leur semblent pas viables.

Pour réagir face à cette situation, le 7 juin 2008, nous, Laurent Fouquet (blé pour la transformation en pain, plantes aromatiques et médicinales), Virginie Filleul (accueil spécialisé, poules pondeuses) et Hervé Legrand (fromage de chèvre), rejoints peu après par Jean-Philippe Bignonneau (apiculteur), avons investi la ferme « Le Chêne » à Ansac-sur-Vienne (Charente, 16), propriété laissée inculte depuis 2002, date à laquelle la société EDISIT a réussi à acquérir ces terres agricoles.

L’objectif était double : installer plusieurs agriculteurs en bio ayant des projets complémentaires sur ces 65 hectares et contrer le projet de centre d’enfouissement de déchets industriels que souhaite réaliser la société EDISIT sur ce site gorgé d’eau (potable, de surcroît).

Le 7 juillet, suite à une décision de justice prise contre nous, le préfet donne l’ordre de nous expulser de ce lieu, manu-militari, par les gardes mobiles.

Aujourd’hui nous continuons nos démarches pour cultiver ces terres, avec l’appui de la confédération paysanne. Nous avons ainsi lancé la procédure légale de demande d’exploitation des terres, que rend possible un article du code rural (L125-1 à 15).

Devant le silence des organes du pouvoir et de la plupart des instances politiques suite à cette demande, et afin de la faire aboutir rapidement et positivement, nous avons besoin de votre soutien..."


Pour signer la pétition et les soutenir:

http://lechene.magraine.net/Petition-de-soutien

jeudi 25 septembre 2008

Bruxelles champêtre


Ce 21 septembre c'était journée à la campagne au coeur de Bruxelles, de nombreux stands de producteurs bio (légumes, fromages, pains et patisseries), d'associations diverses et variées, le soleil était de la partie, les vélos aussi car c'était également la journée sans voiture, bref, de bons moments passés à musarder, déguster, se renseigner, profiter du soleil et de la tranquillité d'une ville rendue aux piétons et cyclistes.





dimanche 31 août 2008

Le 13 septembre marchez pour eux

... et venez nombreux, qu'ils sachent qu'on ne les oublie pas





Il y a de cela un an, des milliers de moines et de citoyens birmans ont eu le courage de se lever et de marcher pacifiquement pour protester contre l’attitude inhumaine des généraux au pouvoir. Marcher malgré le souvenir de la répression sanglante de 1988 (plus de 3000 morts).

Depuis, la situation a empiré: 867 citoyens supplémentaires ont été emprisonnés, portant le nombre de prisonniers politiques à 2025 personnes selon l’Association de soutien aux prisonniers politiques birmans (AAPPB).

Que pouvons-nous faire ?

Nous devons répondre à l’appel d’Aung San Suu Kyi, prix Nobel de la Paix, démocratiquement élue en 1990, en accentuant les pressions internationales et en faisant usage de notre liberté pour servir celle de la population birmane.

Le 13 septembre 2008, Actions Birmanie et Amnesty International entendent commémorer « la révolution safran » en vous conviant à marcher au nom d’un prisonnier de l’automne dernier, de la place des barricades à la place des libertés (300 m).

Comment participer ?

Rendez-vous le samedi 13 septembre à 11h

Place des barricades à Bruxelles (métro MADOU)

En jaune, couleur du parti d’Aung San Suu Kyi (fleur, t-shirt, écharpe...)

Soyons les plus nombreux possible,

car la couverture de l’événement sera relayée jusqu’en Birmanie :

il faut que les birmans sachent qu’ils ne sont pas seuls!


Inscriptions et parrainage

Inscription

Vous pouvez vous inscrire à l'adresse suivante

http://www.birmanie.net/04_inscription_fr.php?x=fin

Vous consulterez ensuite la liste des participants sur laquelle vous retrouverez votre nom ainsi que celui du prisonnier birman que vous représenterez lors de la manifestation. Imprimez ce nom sur une feuille A4, un panneau, un T-Shirt, une banderole, un parapluie…






mardi 29 juillet 2008

Film à voir, à revoir, à faire voir

“NOS ENFANTS NOUS ACCUSERONT” : UNE VERITE QUI BLESSE

Un film au service d’une vérité qui blesse

C’est la première fois, sans doute depuis Le Monde du silence de Jacques Yves Cousteau (palme d’or du Festival de Cannes 1956), que le cinéma français s’intéresse à un sujet sur l’environnement. Si la préservation de l’univers marin était déjà une cause précieuse, celle de l’alimentation de nos enfants l’est bien plus encore. Pour ne pas dire urgente.

Après avoir parcouru les paysages sensoriels français avec sa série des « Quatre Saisons pour… », Jean-Paul Jaud fixe l’objectif de sa caméra sur une tragédie environnementale : l’empoisonnement de nos campagnes par la chimie agricole et les dégâts occasionnés sur la santé publique, notamment celle de nos enfants.

Le film « Nos enfants nous accuseront » raconte la courageuse initiative d’une municipalité du Gard, Barjac, qui décide de faire passer la cantine scolaire au bio, en finançant le surcoût sur le budget de la commune.

Conscient du danger sanitaire qui menace une jeune génération exposée aux 76 000 tonnes de pesticides déversées chaque année sur notre pays, un maire décide de prendre le taureau par les cornes en donnant un exemple d’une portée politique sans comparaison. Alerter l’opinion et les pouvoirs publics sur les dérives scandaleuses d’un système économique qui fait passer ses profits et ses intérêts avant la santé de la population.

Les différents intervenants du film, enfants, parents, enseignants, soignants, journalistes, paysans, élus, scientifiques, chercheurs, livrent leurs sensations, leurs analyses, leurs angoisses, leur colère, le fruit de leurs travaux à la caméra. Chacun raconte son expérience, dénonce les abus, pose les problèmes, mais tous proposent des solutions, à condition que les différents organes de décision prennent leurs responsabilités.
Des témoignages édifiants et bouleversants sur une réalité qu’il est urgent de maîtriser.

Combien de maladies, de tumeurs, d’infirmités, de tragédies humaines sont-elle entrain de proliférer sans que l’on ne fasse rien, ou si peu ? Le film commence à l’Unesco, lors d’un colloque réunissant des sommités mondiales de la médecine, signataires de l’Appel de Paris. Un seul mot d’ordre : Non pas se contenter de constater les ravages, mais trouver tout de suite les moyens d’agir, pour que, demain, nos enfants ne nous accusent pas de les avoir abandonnés. Un film au service d’une vérité qui blesse.”


Film documentaire de 112 minutes. “Regardez autour de vous et vous verrez qu’un pourcentage important de gens qui habitent notre planète est atteint d’une maladie que la science croit liée aux facteurs environnementaux.Cette génération d’enfants est la première de l’histoire moderne à être en moins bonne santé que ses parents”

le site du film: http://www.nosenfantsnousaccuseront-lefilm.com/

la vidéo de l'interview du réalisateur, Jean-Paul Jaud

jeudi 19 juin 2008

Boycottons Lesieur, Amora, Fruit d’or, Saupiquet, et tous les empoisonneurs cyniques !

Info relayée
=========



J’ai déjà parlé de cette histoire, mais le nouvel article du Canard qui en a remis une couche hier m’a doté d’une énergie vengeresse…

Rappelons brièvement les faits :

- La société Saipol, propriétaire de la marque Lesieur, et grossiste en huile, a acheté à vil prix un lot de 40 000 tonnes d’huile de tournesol ukrainienne.
- Exerçant son métier, cette société a revendu avec profit cette huile à d’autres multinationales de l’agroalimentaire.
- Un contrôle a posteriori a mis en évidence la présence frauduleuse dans ce lot d’huile minérale destinée à la lubrification des moteurs.
- Même s’il n’est pas établi que ce mélange peu ragoûtant soit méchamment toxique, eussions nous eu affaire à des gens responsables que ce lot eût immédiatement rejoint la seule destination qui lui seyait : la poubelle.
- Que croyez-vous qu’il arriva ? Ces empoisonneurs dont l’avidité autant que la veulerie sont sans limite, ont néanmoins décidé d’utiliser sciemment cette huile pour composer leurs produits de merde.
- Le pire, c’est qu’ils ont eu l’accord des autorités (françaises et européennes) qui ont décrété que tant que les produits n’en contenaient pas plus de 10%, personne ne devait tomber trop malade.
- Ils ont 40000 tonnes à écouler, un peu plus de 5000 pour la seule France. Cela fait eviron 100 grammes de saloperie par habitant
à faire ingurgiter !
- La Grèce, dont les autorités semblent moins irresponsables que les nôtres, vient de réagir et d’interdire l’utilisation de tous les lots depuis le 1er janvier.

Mais chez nous, dans nos hypermarchés, il y a donc en ce moment dans des produits contaminés à l’huile de moteur !

C’est le Canard Enchaîné qui a révélé l’affaire il y a 2 semaines [EDIT : c’est à dire le 14 mai 2008], avec des reprises le jour même dans la presse nationale. Puis plus rien, tout le monde s’en fout.
La semaine dernière, le Canard publie une liste de marques et des types de produits concernés. Aucune réaction cette fois:
Enfin hier, le Canard publie des notes internes de l’ANIA (Association Nationale des Industries Alimentaires), qui montrent l’envers du décor, comment les industriels vivent la crise, en chiant dans leur froc et priant que l’info ne soit pas reprise et que le temps efface rapidement cette histoire.

Il a été décidé hier en réunion de crise à l’ANIA de ne pas répondre au Canard enchainé formellement. Un projet de communiqué de presse, préparé la semaine dernière, a été réactualisé.
Le communiqué de presse ne sera pas diffusé en proactif. Nous attendons la prochaine parution du Canard Enchaîné et les éventuelles reprises par la presse pour réagir.

Par rapport à l’article de mercredi dernier,cette nouvelle parution n’apporte pas d’éléments clés supplémentaires et n’est pas à la Une du journal. En revanche, de nombreuses marques sont citées, ainsi qu’une liste à la Prévert de nombreux produits incorporant de l’huile de tournesol, ce qui n’était pas le cas la semaine dernière mais que l’on craignait

Ces gens là sont capables d’importer n’importe quelle denrée alimentaire de l’autre bout du monde, dans le seul but de gagner de l’argent. Ils n’ont plus la moindre emprise sur la “traçabilité” des produits qu’ils achètent ainsi, qui peuvent être trafiqués, bourrés de pesticides ou de n’importe quelle autre merde. Et qu’ils ne viennent pas prétendre le contraire, puisque cette sombre affaire en fournit une preuve éclatante.

D’ailleurs un produit importé au prix le plus bas est une quasi certitude de mauvaise qualité doublée d’exploitation des humains qui ont servi à le produire, triplée d’une pression sur l’emploi et le salaire des salariés français.

Ce sont les mêmes qui vendent leurs produits au prix fort en geignant sur la hausse des matières premières, et nous gavent de pubs ineptes avec enfants blonds et mamans épanouies qui éprouvent un plaisir intense à bouffer leurs saloperies suremballées dans d’affriolants plastiques aux couleurs vives.

Il faut lutter contre ces pratiques ! Ils faut lutter contre ces salopards ! Et il faut rappeler à Monsieur Delanoë que c’est ça, le libéralisme !

Comme on l’a vu, leur plus grande trouille est que le nom des marques s’ébruite, ce qui pourrait occasionner une baisse de leurs ventes et de leurs sacro-saints profits, qui les aveuglent à un point tel qu’ils sont capables pour cela d’empoisonner leurs clients sans remords.

Alors dénonçons les, ces sinistres pleutres ! Et vous camarades lecteurs, relayez l’information ! Selon vos moyens, parlez-en autour de vous, dans vos blogs, dans vos journaux, et surtout, CITEZ LES MARQUES, c’est de ça dont ils ont la trouille !

Les marques concernées, à boycotter d’urgence et durablement, sont les suivantes :

Lesieur, bien évidemment, puisque leur avidité est à l’origine du problème et toutes les marques du groupe :
Fruit d’or
Epi d’or
Frial
Isio 4
Oli
Carapelli

Saupiquet

Toutes les marques du groupe Unilever , par exemple
Amora

Planta Fin
Maille
Knorr
Magnum
Miko

….

Les poduits les plus susceptibles de contenir de l’huile empoisonnée sont les suivants :
Mayonnaise
Tarama
Sauce Béarnaise
Chips
Vinaigrette allégée

Surimi
Céleri Rémoulade
Soupe de poisson en conserve
Poisson pané
Paupiettes de veau
Thon et sardines à l’huile

Pates à tartiner chocolatées
Gaufrettes à la confiture
Barres céréalières et sucrées pour les enfants
Cookies

Merci d’avance, et faites tourner !

[EDIT : ce billet a été, comme je l’avais souhaité, bien diffusé. Il circule de mail en mail. Hélas, quelqu’un d’inconscient ou de mal intentionné en a retiré l’adresse d’origine. D’où le doute de certains lecteurs.

C’est ainsi qu’il s’est même retrouvé sur Hoaxbuster !

Afin de convaincre les sceptiques, je publie les scans des 3 articles du Canard Enchaîné :

- La révélation de l’affaire, le 14 mai 2008

- La révélation des marques concernées, le 21 mai 2008

- La réaction piteuse de l’ANIA, le 28 mai 2008

Attention, les fichiers sont assez lourds, et il vous faudra peut-être utiliser la loupe de votre navigateur pour les visualiser correctement.

Si vous diffusez ce billet, que ce soit sur un blog ou par mail, mentionnez obligatoirement l’adresse de ce billet : http://www.superno.com/blog/?p=325

Ceci évitera tout manipulation et modification qui pourrait remettre en cause sa crédibilité

Merci à tous !]

Superno

mercredi 18 juin 2008

Ed. Asteline

Les éditions Asteline, vous connaissez?

Un éditeur belge qui.... mais le mieux est encore ce qu'en écrit l'éditeur, Joachim Regout

"Asteline, c’est la concrétisation d’un rêve, et pour moi un rêve va de pair avec une éthique et des idéaux. Quand on a des idéaux, la difficulté réside à s’y tenir, tout en sachant perdre ses illusions. Au bout de trois années de réflexion, j'ai décidé de vous proposer une autre façon d’éditer. Et j’espère pouvoir la prolonger le plus longtemps possible, grâce à votre soutien et – j’espère – votre enthousiasme de lecteur.

Asteline

1) souhaite publier un petit nombre de titres par an, cela afin de soigner la qualité des ouvrages et afin d’assurer leur promotion sur la durée.

2) cherche à promouvoir en priorité la création en Belgique, à l’heure où les pôles éditoriaux décisionnels se recentrent généralement sur Paris (suite à des rachats de maisons d’édition belges par des groupes français, notamment).

3) fait appel, au maximum, à des partenaires imprimeurs de proximité

- pour diminuer la pollution liée aux transports (imaginez celle de ces livres jeunesse - de plus en plus nombreux - imprimés en Asie)

- parce que nos contrées sont réputées pour la qualité de leur travail d’imprimerie

- pour respecter les droits sociaux des travailleurs

4) opte le plus possible pour de beaux papiers d’édition… recyclés ou labellisés FSC (Forest Stewardship Council : Conseil de bonne Gestion Forestière).

Paradoxalement, la plupart des beaux papiers recyclés coûtent plus cher que le papier traditionnel.

Des auteurs anglo-saxons renommés comme J.K. Rowling (Harry Potter), Philippe Pullman, Helen Fielding, John O'Farrell, Paulo Coelho ou Joanna Trollope, ont déjà obtenu de leurs éditeurs des alternatives écologiques pour imprimer leurs ouvrages.

Dans le cadre de la campagne "Mes livres respectent les forêts" de Greenpeace Belgique, les éditions Asteline sensibilisent à leur tour leurs auteurs et leurs lecteurs sur l’urgence de freiner la destruction massive des forêts anciennes. Par un choix dans leurs achats, les lecteurs peuvent favoriser la mise en place d’une gestion papetière plus saine et contribuer à la préservation des forêts.

5) procède à l’impression par petits tirages, pour éviter la destruction massive de stocks en surplus, comme c’est souvent le cas (il n’est pas rare de voir des éditeurs publier trop, pilonner beaucoup, tout en étant paradoxalement très rentables).

6) évite l’impression inutile sur papier.
Si les livres sont volontiers conservés chez soi, on s’encombre rarement d’anciens numéros de magazines. En proposant sa partie Magazine en ligne, Asteline offre un outil de choix pour le lecteur, cela gratuitement, sur son écran et - fait suffisamment rare pour le souligner – sans publicité ! Pour pouvoir subvenir à ses besoins et continuer à proposer gratuitement ce service, Asteline compte sur l’engouement que pourront susciter ses livres.

En vous remerciant d’avance pour l’accueil que vous porterez aux ouvrages Asteline, je vous souhaite de bonnes lectures."

le site des éditions Asteline : http://www.asteline.be/editions.html

dimanche 8 juin 2008

Foire aux savoir faire 2008


La foire aux savoir-faire réinvestit la place de la Monnaie pour une 3ème édition le 21 juin 2008





Pour la 3ème fois, la Foire aux Savoir-Faire installe son village éphémère et gratuit dans le centre marchand de

Bruxelles. L'objectif de cet événement est de donner envie de faire par soi-même.

Donner envie de réparer, de réutiliser, de récupérer, de détourner, de créer du neuf avec du vieux, d'inventer du beau, de l'original.

La Foire aux Savoir-Faire veut distiller cette saine curiosité de vouloir savoir ce qu'il y a dans son pain, dans son

dentifrice, dans son liquide vaisselle, dans son déodorant.

La saine curiosité de vouloir ce qu'il y a de meilleur pour soi et son environnement.


Empreinte écologique, gaspillages de ressources naturelles, sur-consommation, commerce international prédateur et destructeur,… Difficile de savoir quoi faire !

Pourtant, le plus simple est encore de commencer à faire... par soi-même.


Faire ses vêtements ou donner une seconde vie à de vieux vêtements, c'est la joie de mettre en avant sa créativité, de valoriser son imagination et son travail, d'oser une réponse personnalisée à un besoin propre.


Faire des objets usuels ou décoratifs à partir de récupération, c'est aussi le plaisir d'inventer d'un mode de vie moins gourmand en ressources naturelles qui transmute déchets en matière première.


Faire ses repas, choisir ses aliments, c'est le plaisir de se sentir en harmonie avec une saison, avec une nature vivante et l'envie de la respecter.


Faire ses produits d'entretien, de beauté ou d'hygiène, c'est savoir ce qui est bon pour son corps, pour sa maison, c'est aussi le plaisir d'utiliser des produits dont on connaît l'origine et l'impact sur l'environnement.


Faire ensemble, c'est le plaisir d'être réunis pour un moment convivial et la joie de découvrir et d'apprécier l'autre pour ce qu'il sait faire et non pour ce qu'il sait acheter. Du temps investi, gagné à apprendre, pratiquer et transmettre.


L'ASBL Foire aux Savoir-Faire recherche toujours de nouveaux savoir-faire pour le 21 juin 2008. Si vous avez envie de transmettre, de participer ou d'en savoir plus, n'hésitez pas à nous contacter.


Cette action est soutenue par la Ville de Bruxelles, par la Ministre de l'Environnement et de l'Energie de la Région de Bruxelles-Capitale et par l'IBGE.


Inscriptions et plus d'informations sur www.foiresavoirfaire.org

Daniel Kilimnik : 0485/69.75.25

Damien Lesca : 02/787.61.82

vendredi 6 juin 2008

Guide de l’éco-citoyen



Le Guide de l’éco-citoyen édité par le CERES (Centre d'Enseignement et de Recherche pour l'Environnement et la Santé) date de 2006 mais est toujours d'actualité.
C'est un guide de bonnes pratiques pour des modes de consommation alimentaire respectueux de l’environnement et soucieux d'un développement durable.

Vous y trouverez:

Chapitre 1 : La santé dans mon assiette, la santé de ma planète.
Chapitre 2 : Alimentation et impacts Environnementaux.
Chapitre 3 : La consommation alimentaire en Belgique.
Chapitre 4 : Les différentes filières de production en Belgique.
Chapitre 5 : Le mode de distribution des produits.
En guise de conclusion.
Pour en savoir plus.
Adresses et sites Internet utiles.
Consom-actions quelques gestes pour une consommation plus responsable et plus respectueuse de l’environnement.

Pour le télécharger (pdf)

http://www.ceres.fapse.ulg.ac.be/alimentation_environnement.pdf

mardi 8 avril 2008

1er avril: Lille - Dévelopement durable


Ce premier avril, visite à Lille pour une conférence- débat sur le développement durable avec Mme Danielle Poliautre, Maire adjointe et déléguée au développement durable, Mme Florinda Oliveri responsable de la centrale d’achats de la ville, M. Richard Julian chargé développement durable et environnement et M. Eric Decaillon, directeur du service éclairage public, sur les marchés publics responsables et le développement durable.

Matinée instructive, Mme Poliautre nous donne un aperçu très clair et précis de ce qui a été fait et est encore fait en ce domaine à Lille, et ce qui à décider la ville à participer à "agenda 21"

Après-midi dans les rues de la ville avec M. Eric Decaillon qui nous fait découvrir les installations économes d’éclairage public était organisée, sur lesquelles il nous donnent toutes les explications souhaitées.

Encore une journée des plus instructives, de belles rencontres, et pleins d'idées à développer et appliquer ramenées de ce voyage.

jeudi 3 avril 2008

Savez-vous que........?

- La consommation d'énergie mondiale a augmenté de près de 70% au cours des trente dernières années.

- 2,4 milliards de personnes n'ont pas accès à l'eau potable.
Dans les pays industrialisés, une famille citadine de 4 à 6 personnes consomme en moyenne 640 litres d'eau par jour.

- Près d'un trajet sur trois de moins de 8 kilomètres se fait en voitures dans les grandes villes.
Un trajet de 5 kilomètres émet dix fois plus de dioxyde de carbone par passager qu'un bus et 25 fois plus qu'un train.

-2000 millions de tonnes de déchets sont générées chaque année en Europe, quantité qui a augmenté de 10 % par an ces six dernière année.
Parmi ces déchets plus de 40 millions de tonnes sont classés dangereux.

- Les 20% d'individus les plus "riches" du monde consomment près de 75% des ressources naturelles de la planète.
Si l'ensemble des habitants de la Terre consommaient de même, il faudrait les ressources de 3 planètes (cinq si on se conformait à la consommation des USA)





samedi 29 mars 2008

Cerveau et particules

Article de Véronique Paternostre, paru sur le site d'Inter Envionnement Wallonie.


-------------------------------------------------


Les particules stressent le cerveau

Une étude hollandaise, publiée dans la revue britannique Particle and Fibre Toxicology, a mis en évidence que respirer les fumées de pots d’échappement de voitures diesel provoque un stress cérébral même si l’exposition est de courte durée. Explication.


Pour cette étude, dix volontaires [1] ont été exposés pendant une heure à des fumées d’échappement de moteurs diesel (300 μg/m3 de particules fines), pendant qu’un groupe contrôle était exposé à un air filtré. Ils étaient, durant toute l’expérience, et pendant l’heure suivante, branchés à un électroencéphalographe qui enregistrait leur activité cérébrale.


Les sujets qui ont respiré des fumées de diesel ont manifesté un stress cérébral dans le cortex frontal au bout de 30 minutes d’exposition. Cette augmentation de la MPF (median power frequency) a persisté au cours de l’heure suivant l’exposition.


Des précédentes études avaient déjà établi que les nanoparticules inhalées franchissent les barrières protectrices et arrivent jusqu’au cerveau. Mais c’est la première fois, selon la revue, que des chercheurs ont démontré l’impact de l’inhalation de ces particules sur le fonctionnement du cerveau. Selon eux, une réaction électrique enregistrée correspond à un stress cortical général. Il s’agit d’un stress oxydant provoqué par le dépôt de particules sur les tissus. Ce type de stress est celui observé dans plusieurs maladies neuro-dégénératives comme les maladies d’Alzheimer ou de Parkinson.


La concentration de polluants définie pour cette expérience, correspond à des valeurs réelles (élevées) mesurées dans des embouteillages ou sur des lieux de travail (garage). Il est donc tout à fait concevable que l’exposition chronique d’êtres humains à des valeurs élevées de ces particules (dans des zones urbaines ou spécialement polluées) puisse interférer avec le fonctionnement normal de leurs cerveaux. Cette hypothèse, en toute rigueur scientifique, reste encore bien sûr à vérifier.


Rappelons qu’une voiture sur deux en Europe fonctionne au diesel. En Belgique ce sont plus de 2’730.960 voitures particulières qui roulent au diesel (sur les 5’048.723 véhicules !). Le nombre de voitures diesel a augmenté de 77% en dix ans et la tendance ne fait que s’accentuer. En 2006, pour chaque immatriculation essence, ce sont trois voitures diesel qui viennent se rajouter au parc !


Pourquoi ? la dieselisation du parc est une manière pour les constructeurs de tenter de respecter les "accords volontaires" par lesquels ils se sont engagés (vis-à-vis de l’Union européenne) à réduire les émissions de CO2 des véhicules neufs (voir précédente nIEWs). Par ailleurs, certains pays dont la Belgique continuent à favoriser le diesel en le proposant à la pompe à un prix inférieur à celui de l’essence. Cette politique rétrograde heurte la logique qui voudrait que le carburant le plus polluant soit le plus taxé.


Pour en savoir plus sur la situation des particules fines en europe : le site santé-environnement.


---------

[1] Pour raisons éthiques, ce type d’étude basé sur l’exposition de volontaires à des produits potentiellement toxiques est limité ! L’équipe de recherche a par ailleurs préparé des sets d’analyse ayant reproduit les particules de façon artificielle exemptes des autres composés toxiques des fumées d’échappement.



Source: http://www.iewonline.be/spip.php?article1898

jeudi 27 mars 2008

Lagunage, épuration extensive à macrophytes


Ce vendredi 23 mars, train Bruxelles-Namur en fin de matinée, destination Inter Environnement Wallonie pour une visite de deux installations d’épuration extensive, une de l’INASEP à Coutisse et celle d’un particulier à Havrenne près de Rochefort.

Temps gris, pluvieux et froid, heureusement IEW se trouve juste en face d’une des sorties de la gare, la rue à traverser, pas le temps d’être mouillée ni gelée.

Accueil sympa, quelques personnes déjà là, d’autres qui arrivent encore, on sera moins nombreux que prévu, le mauvais temps sans doute qui a dû en décourager plus d’un.

Un mini car nous emmène vers notre première visite, un lagunage à macrophytes, celui de l’INASEP à Coutisse.

On arrive : superbe campagne verdoyante, monsieur Lefèvre notre guide nous accueille à la descente du mini car et nous entraîne aussitôt vers le site de lagunage.

La vraie expédition commence, après quelques mètres de chemin plus ou moins praticable, on aborde la partie qui justifie la demande « munissez-vous de chaussures de marche ou de bottes », un moment acrobaties et équilibre instable possible sur une mince bande d’herbes bordée d’aubépines (aie, ça pique !) puis faut accepter l’inévitable, va pour la boue.
Minutes intenses de dérapage-patinage-barbotage, on atteint le prés où se trouvent les trois bassins de lagunage à travers lesquels serpente l’eau à épurer.

photo IEW


Le premier bassin ne comporte pratiquement pas de végétation du fait du fort taux en azote et en phosphore, la végétation est nettement plus dense dans les deux autres bassins.


Photo IEW

Il fait glacial, le vent est mordant, c’est les mains dans les poches et les cols remontés que nous écoutons les explications de notre guide, mais cela ne diminue en rien notre intérêt.

A nouveau séance de barbotage-patinage-dérapage pour regagner le mini car. Vraiment, j’aurais dû choisir l’option bottes !


La visite valait d'affronter boue et froid, en plus l'endroit est bien agréable, j'y reviendrais volontier mais par temps sec, nous remercions notre guide et prenons congé de lui.


Pour en savoir plus sur ce système de lagunage: le site de l'INASEP

http://www.inasep.be/index.php?option=com_content&task=view&id=13&Itemid=34


Le car repart vers sa nouvelle destination, Havrenne dans les environs de Rochefort, et le lagunage privé de Christian Heyden.

Jusque là nous avons eu soleil et pluie, à présent c’est la neige qui tombe en alternance avec des périodes ensoleillées.

Arrivée dans le village d’Havrenne, après quelques hésitations nous trouvons l’habitation de Christian Heyden (Ecologie au quotidien asbl) qui nous reçoit fort aimablement. La visite commence aussitôt.

Arrière de la maison : chambre de décantation, une simple fosse septique fait l’affaire, du moment qu’elle soit assez grande ( minimum 4000 litres pour cinq personne) ; traversée de la pelouse vers le lagunage proprement dit.

Premier bassin, empli de graviers au travers lesquels l’eau s’infiltre et se filtre sans jamais affleurer (elle se trouve juste sous quelques millimètres de substrats), des plantes aussi : massettes, iris des marais, joncs des chaisiers.

Deuxième bassin, à l’air libre lui pour permettre aux micro-organismes de se développer et d’ainsi assurer une bonne épuration.


photo IEW

Troisième bassin, un court espace d’eau libre dont le rôle est uniquement d'éviter que le bassin attenant ne soit noyé par moment, et le bassin lui-même, empli d’un mélange de sable, terre et graviers, où poussent également des plantes des marais

photo IEW

Et pour finir la mare, qui accueille tritons, larves de libellules et daphnies, le trop plein s’écoulant dans le ruisseau proche. Son eau, épurée, peut servir pour arroser pelouse, serre et potager.


photo IEW

La visite se termine, nous avons rencontré un passionné qui s'entend à la faire partager sa passion; les explications que Christian Heyden nous a données durant plus d'une heure étaient si complètes et détaillées que nous n'avons guère eu de questions à lui poser par la suite.Une rencontre aussi riche qu'instructive.

Si ce système de lagunage vous interesse:


"Ecologie au quotidien" asbl - http://www.lagunage.be/
Christian Heyden, biochimiste et auteur de projets
23, rue Saint-Antoine
5580 Havrenne (Rochefort)
Tél: 084/41.39.60
E-mail christian.heyden@yucom.be - christian.heyden@lagunage.be

Comme il le dit lui même, il ne répond pas toujours au téléphone, mieux vaut donc le contacter par E-mail

mardi 25 mars 2008

Pékin 2008-

Droit de parole,

Liberté d’expression

Egalité de vie

Fraternité humaine….




jeudi 20 mars 2008

Réseau pour promouvoir l'alimentation durable

Ce 19 mars a été inauguré à Bruxelles un réseau des acteurs bruxellois pour l’alimentation durable, afin de créer des synergies entre tous les projets existants et donner plus de visibilité à l’alimentation durable.

Avec avec le soutien d'Evelyne Huytebroeck, Ministre de l'environnement de la Région de Bruxelles-Capitale, le CRIOC et Bruxelles Environnement ont réuni une cinquantaines d'autres organisations pour s'atteler à sa constitution, à l'élaboration d'une charte.

Ce ne fut pas une mince affaire que de trouver un consensus car si le but était commun, les façons d'envisager les moyens, les termes, différaient bien souvent, et en finale c'est une trentaine d'organisations qui ont signé cette charte, mais comme il a été dit lors du séminaire accompagnant cette inauguration, la charte ainsi élaborée n'est ni figée, ni définitive, pas plus que la liste des signataires.

Ce réseau a pour but de coordonner les activités, les efforts d'une série d'acteurs de la région bruxelloise: producteurs bio, marchés, magasin bio, restaurant utilisant des produits locaux, issus du commerce équitables, etc.

Le séminaire à été l'occasion de rencontres, d'ateliers permettant d'approfondir la réflexion sur l'un ou l'autre sujet.

Un site devrait bientôt voir le jour pour suivre l'évolution et l'activité du réseau

...à suivre donc!






dimanche 16 mars 2008

Cure de printemps

L'hiver se termine, c'est le moment de faire un nettoyage de printemps, et pas que dans la maison.

Pour rendre tout propre notre organisme encrassé durant l'hiver et être frais et pimpant pour accueillir les beaux jours, les moyens faciles, naturels, et pas cher ne manquent pas:


- la cure de sève de bouleau:
____________________

Que vous l'ayez récoltée vous-même ou non, elle est un excellent dépuratif, elle active la diurèse et l'élimination des déchets organiques.

Et elle est utile aussi en cas de rhumatisme.

Infusion de sauge:
_____________
7 à 8 grammes de sauge sèche pour 1/4 de l d'eau. Laisser infuser un quart d'heure.

Une tasse à jeun tous les matins pendant 7 jours (aux temps anciens on conseillait de faire cette cure en lune descendante )

Purée d'ortie fraiche:
_______________

- Une tasse d'eau bouillante versée sur +/- 150 g. de feuilles d'ortie fraiche.
- Mixer.
- Ajoutez sel, poivre, noix de muscade selon les goûts.

A prendre une fois par jour, plusieurs jours en suivant, à renouveler de temps à autres tant que l'on trouve des orties fraiches.
Veillez à les cueillir dans des endroits à l'abri de toute pollution (pas près d'un champs en culture, d'une routes, d'une usine etc.)


Pensez aussi aux graines germées, à consommer des fruits et légumes de saison sans restriction, notamment: pissenlit, chicorées, asperges, bette à carde, ortie blanche, cresson, endive, radis rose et noir, carotte (vous pouvez en faire une cure de quelques jours, crues et râpées), citron, pamplemousse.





samedi 15 mars 2008

Confiture de vieux garçon

Je sais, je vous ai déjà donné cette recette sur l'ancien blog, mais c'est trop bon, trop facile à faire...et puis les fruits de saison, et du pays, vont à nouveau envahir les étals, il faut en profiter.

La recette:

- Des fruits bien murs (mais ni trop murs, ni abimés ) groseilles, cerises, prunes, pêches etc.

Pour 1 kg de fruits:
- 750 gr de sucre
- +/- 4 dl d'eau de vie blanche à 45°

Un grand pot (en grès de préférence, si c'est un pot en verre le garder à l'abri de la lumière) pouvant contenir plusieurs kilos de fruits et fermant hermétiquement, l'ébouillante avant de l'utiliser.


- Y placer les fruits de saison, lavé et épongés (vous commencer par exemple par les cerises en saison)
- Ajouter le sucre, l'alcool (il doit recouvrir les fruits, en ajouter si nécessaire).
- Tapoter un peu le fond du bocal pour tasser les fruits et chasser l'air.

- Refermer hermétiquement.
- Garder au frais et à l'abri de la lumière, ajouter éventuellement de l'alcool si le niveau baisse et ne recouvre plus les fruits.
- Au fur et à mesure de l'arrivée des fruits sur les étals, les ajouter (on peut bien sur mettre plusieurs sortes de fruits en même temps dans le bocal)

Ne pas trop tarder à remplir le bocal (à 2 cm du bord)
-Ajouter de l'alcool en fin de remplissage, fermer hermétiquement, laisser reposer au sec et à l'abri de la lumière au moins trois mois,
Vérifier de temps à autre qu'il n'y a ni fermentation, ni moisissure, si c'est le cas retirer la pellicule de moisissure et ajouter de l'alcool


Il faut retirer les noyaux des pêches, prunes etc., sauf les cerises qui elles seront simplement équeutées; groseilles, cassis etc. égrainés à la fourchette
Pêches, brugnons, abricots, prunes etc. coupés en deux ou en quatre selon leur taille, le melon en petit dé, ainsi que la poire.
Le raisin sera pelé et épépiné.


- attention aux fraises et aux framboise qui, tout comme le melon, ont un goût très prononcé qui peut masquer ceux des autres fruits, n'en mettre que très peu si on désire les utiliser tout de même.
- pas trop de poire non plus car elle rend trop d'eau, tout comme le melon d'ailleurs

- les fruits exotique: mangue, banane etc. peuvent bien entendu être également utiliser.


Un petit plus: si vous pouvez, faire un bocal uniquement avec des fruits rouges: fraises, myrtilles, groseilles rouges, cerises, griottes, cassis et prunelles par exemple


Attention: les fruits tels que prunes, mirabelles, quetsche doivent être frais et en parfait état sinon il risquent de s'abimer et de donner un goût peu agréable à la liqueur.




jeudi 13 mars 2008

Hooseek

HooSeek est un moteur de recherche pas comme les autres.

Sur ce moteur de recherche 1 recherche = 1 don (service gratuit).

Concrètement, vous sélectionnez jusqu'à 4 associations parmi les 500.000 présentes et chaque recherche que vous effectuerez sur hooseek apportera environ 0,2 centimes à vos associations favorites. C'est HooSeek qui verse l'argent aux associations mais c'est l'utilisateur qui les choisi.

On peut soutenir jusqu’à 4 associations qui recevront 0,2 centimes à chaque recherche effectuée sur hooseek.

En savoir plus

et aussi
HooSeek, comment ça marche ? x


mercredi 12 mars 2008

Bionade

Bionade c'est bon, c'est naturel, c'est bio.... et ca plait:
- label écologique bio de la centrale européenne de contrôle biologie.
- 3 millions de bouteilles vendues en 1999
- 60 millions en 2005
- 200 millions en 2007

Revers de la médaille, ce succès à attire l'attention de Coca Cola qui du coup lorgne sur la licence Bionade.
Autre contrainte, pour entrer sur les marchés internationaux "Bionade" à dû se glisser dans les Starbuck et McCafé. Pas évident dans ses conditions de maintenir l'éthique orgininale du projet tout en arrivant à vendre à traver le monde

....mais pour l'heure Bionade c'est de l’orge et de sureau, à terme, ce nouveau type de production dans la région (Rhön /Allemagne) pourrait représenter 70 hectares de cultures de sureau bio et de 1000 hectares d’orge bio.
La société réduit les déplacements et assure la fourniture de ses matières premières
L'économie locale se retrouve dopée par ce pacte. Mieux, de ces collaborations déboucherait la construction d’une entreprise utilisant le biogaz et les copeaux de bois pour créer de l’énergie. Bionade l’utiliserait et rémunèrerait les agriculteurs exploitant l’entreprise.

Le processus de fabrication de la boisson s’inspire largement de la bière et des abeilles !
Comme pour la bière la Bionade recourt à un procédé de fermentation, de ce procédé devrait sortir de l’alcool mais c’est ici que les abeilles interviennent: elles transforment le sucre en acide gluconique...la Bionade en fera de même.
Résultat : la plupart des composants de la boisson et du miel sont communs et grâce à la présence des gluconates, le sucre est plus doux.

Par ailleurs, la Bionade prohibe tout élément chimique et n’utilise que des matières premières naturelles. Ainsi, les parfums utilisés dans Bionade proviennent bien de chaque fruit annoncé dans la boisson. Reste cependant à acheminer les matières exotiques comme les oranges et les lychees.

(Source: info-durable)
et
http://www.bionade.com/bionade.php

mardi 11 mars 2008

Il était une foi ma chambre...

Petits conseils pour une chambre d'enfant saine, qui valent tout autant pour une chambre d'adultes



Choisissez pour votre enfant une chambre calme, le moins possible exposée aux bruits de la maison et du voisinage.


Il existe des matériaux plus sains que d’autres. Avant d’entamer une rénovation,
renseignez-vous sur la toxicité éventuelle de ce que vous comptez utiliser (peintures,vernis, colles, isolants, bois aggloméré, etc.).


Evitez le tapis plain et les carpettes, qui retiennent les poussières.


Aérez pendant plusieurs semaines après les travaux de peinture ou de rénovation.

Ne chauffez pas trop la chambre : maximum 20 degrés pendant les premières semaines, maximum 18 degrés à partir de deux mois.


Evitez un air trop humide. De la buée sur les vitres, des traces noires sur les murs doivent vous alerter. Si cela arrive, cherchez-en les causes.


Par mesure de précaution, limitez la présence d’appareils électriques dans la chambre. Il est possible que les ondes électromagnétiques soient nocives pour la santé


Ne fumez pas dans la maison et surtout pas dans la chambre d’enfant.


N’utilisez ni insecticides, ni diffuseurs de parfums.


Faites vérifier qu’aucun gaz toxique ne peut pénétrer dans la chambre (venant de la chaudière, du garage, de la cheminée, etc.). Les équipements de chauffage doivent être contrôlés régulièrement.


Aérez la chambre au moins un quart d’heure par jour,même en hiver.


Nettoyez régulièrement à l’eau claire pour faire disparaître la poussière. L’utilisation d’un détergent n’est pas toujours nécessaire.


Laissez les animaux à l’extérieur de la chambre.

vendredi 7 mars 2008

Votre jardin en santé


Comme chaque année dès le printemps, les activités de jardinage reprennent : tondeuse, épandage d’herbicides, etc. L’objectif de cette campagne d’affichage est de susciter une prise de conscience des risques à court et à long terme que présentent les pesticides pour la santé.

Le jardinage sans pesticide offre des avantages multiples : pas de pollution des nappes et des rivières, impact positif sur la biodiversité, et surtout pas de risques pour la santé des adultes et des enfants. Or, à l’échelle d’un jardin, les alternatives sont nombreuses et faciles à mettre en œuvre.

Commander des affiches ?

Les canaux de diffusion recherchés pour cette affiche sont de préférence les milieux médicaux : maisons médicales, salles d’attente de votre médecin, mutuelles, … Nous vous invitons à prendre part à cette campagne soit en :

- l’affichant dans vos locaux, votre salle d’attente, …
- diffusant l’affiche dans votre réseau de membres ;
- faisant connaître cette action dans votre réseau (lien vers l’affiche sur votre site Internet, annonce de cette campagne dans votre journal, …)

Les affiches sont données gratuitement dans la limite des stocks disponibles. Afin de les distribuer au mieux, veuillez-nous communiquer le nombre d’exemplaires dont vous pouvez assurer l’affichage ?

Pour commander l'affiche ou la télécharger
http://www.sante-environnement.be/spip.php?article36