samedi 23 janvier 2010

Résistants pour la Terre



Héros ordinaires, ils luttent au quotidien, souvent au péril de leur vie, contre l'avancée du désert, le pillage des forêts ou le massacre des gorilles. En France, au Rwanda, en Bolivie ou en Thaïlande, ils luttent pour une agriculture saine, un accès équitable à l'eau, un tourisme respectueux de la nature : pour le droit de tous à vivre dignement, sur une Terre préservée.

Qui sont-ils ? Les lauréates et lauréats du Prix Goldman, le " Nobel de l'environnement ". Sébastien Viaud a fait le tour du monde pour les rencontrer. Professeur d'EPS, animateur de clubs Unesco dans son collège, il a voulu répondre à ses élèves, qui demandent : " Mais qu'est-ce qu'on peut faire ? ". Il prolonge son voyage avec l'association Résistants pour la Terre, financée en partie grâce aux ventes de ce livre.
Auteur de Réparer la planète (Prix du Livre Nature et Environnement 2008), fondatrice de BeCitizen et des éditions Viatao, Anne Gouyon s'est associée à Sébastien pour écrire les textes de ce livre : 21 portraits illustrés de photos splendides, qui suscitent tour à tour la colère et l'espoir.

mercredi 13 janvier 2010

Pas gènés non plus chez B....aux !

Exceptionnellement un article en milieu de semaine, parce qu'il est des choses qui ne peuvent pas attendre pour être dites.



Peut-être avez-vous eu vent des ennuis de Kokopelli avec ce semencier sans vergogne, et du dernier rebondissement en date, voici la suite, courriel reçu ce jour (pour preuve de ce qui y est dit si besoin, la pub affichée par Google sur le présent blog )


Le piratage à la mode Baumaux s'étend sur la toile

Nous prions nos ami(es) de nous pardonner d'envoyer un second mail aussi rapproché du premier. Il nous parait, cependant, important de porter à l'attention des internautes les méthodes, pour le moins douteuses, de la société Baumaux. Les photos de prise d'écran, illustrant ce présent communiqué, sont disponibles sur le blog de Kokopelli

Une précision tout d’abord: contrairement à certaines rumeurs qui courent sur la toile, le nom « KOKOPELLI association » déposé en mai 1999 à l’INPI (dans les classes 35, 41 et 42) est le fait d’une entité, sise à Paris, que nous ne connaissons pas et qui travaille dans l’informatique. Ce nom a été déposé une semaine après que nous ayons déclaré notre association Kokopelli en préfecture d’Ardèche. C’est cette même entité qui est propriétaire en France du nom de domaine "kokopelli.fr" sur internet.

D’un point de vue éthique, nous avons refusé de déposer en avril 1999, en tant que marque commerciale, le nom Kokopelli qui est un symbole culturel millénaire chez les Amérindiens.

Pour en venir au marketing Google (et autres) utilisé par Baumaux, voici (sur notre blog) des photos d’écran de sites internet ou de blogs qui se font le relais des luttes de Kokopelli et nous les en remercions sincèrement.

Mais de par le fait que ces blogs acceptent des "pubs Google", toute mention de Kokopelli « appelle » automatiquement une pub de la société Baumaux.

Dans un cas de figure, par exemple, la mention de Kokopelli a déchaîné la fureur Googlienne de Baumaux avec pas moins de 4 encarts publicitaires!!

Cela fait des années que cette situation perdure et je l’ai déjà évoquée dans un communiqué: Tintin, Google et les publicités Baumaux, il y a deux ans, communiqué que l’on retrouve sur la toile, par exemple chez Bioeco.

En sus de ces publicités sur les blogs, Baumaux a "acheté" le premier espace publicitaire auprès de Google, et parfois d'autres moteurs de recherche, pour toute recherche portant sur les noms "Kokopelli", "association Kokopelli", "semences", "semences bio", "graines", "graines bios", etc, ad nauseam.

Chez Google, la recherche sur "kokopelli", "association kokopelli", appelle, en ce moment, une publicité Baumaux intitulée "Tomate Kokopelli" avec l’adresse internet de Baumaux.

Dans le cas de "Voila" et dans le cas "d’Orange", la recherche sur "Kokopelli" donne Baumaux en premier lien sous le nom "Kokopeli" avec 1 seul l !! Ce qui veut dire que Baumaux a "acheté" auprès de Voila et d’Orange des espaces publicitaires "Kokopeli".

Et l'ironie de tout cela, c'est que certains internautes qui ouvrent (sur la messagerie Orange, par exemple) les communiqués de Kokopelli, dénonçant les manoeuvres peu élégantes de Baumaux, ont en haut de leur message un espace publicitaire Baumaux qui s'affiche!!

Chez Google, en sus de Voila et d'Orange, la recherche sur "kokopeli" (avec un seul l) appelle une publicité Baumaux avec comme intitulé Kokopeli (avec un seul l).

En conclusion, Baumaux a également "sécurisé" (un euphémisme dans notre société de pathologie marchande) auprès de Google, de Voila et d'Orange le terme "kokopeli" (avec un seul l ) Pourquoi se gêner?

Dernière Minute: Notre ami, et webmaster Pascal Farcy, vient de nous souligner que Kokopelli n’est pas la seule obsession des amourettes de Mr Baumaux. Nos collègues semenciers du Biau Germe se font mal-aimer, idem: une recherche sur leur nom (chez Google, Voila et Orange) « appelle » une pub Baumaux libellée "Biau Germe": on vit une époque formidable.

Il est donc clair que le "pacifisme" a des limites! De même pour la tolérance. Que peut faire un tolérant face à un intolérant? C'est l'éternelle question. Un tolérant mort ne serait-il pas une tautologie?

En vous remerçiant pour votre soutien éternel.

Dominique Guillet

dimanche 10 janvier 2010

Même pas génés tiens !




Aujourd'hui une "simple" phrase, que je ne commenterais pas, elle parle d'elle même, relevée dans un article du JDD sur cette fameuse annulation de la commande de 50 millions de doses.

"La France n’a pas non plus intérêt à se brouiller avec nous, explique l’avocat de l’une des entreprises concernées, si elle ne veut pas être reléguée dans le rang des clients de seconde zone à la prochaine pandémie"


A chacun de voir ce qu'il en pense, et de quelques autres petites choses écrites dans cet article aussi?

L'article du JDD

dimanche 3 janvier 2010

De l'eau potable à partir des feuilles

Un nouveau concept dont le but est de récupérer facilement de l'eau potable , ce qui pourrait être appréciable dans les pays en voie de développement.


Illustration: présentation "Savior Bud" des designers Seol Ah Sun et Jin Kim Hyo


"Savior Bud", en forme d'oeuf, est composé d'une pince principale et d'un robinet.
Il suffit d'ouvrir cet objet, de pincer quelques feuilles d'un arbre que l'on emprisonne dans le contenant, et de le refermer, le reste se fait tout seul.
Par condensation , l'humidité des feuilles rempli lentement l'œuf d'eau. Un robinet situé en bas du dispositif permet de récupérer cette.

Cette invention a été imaginée par les designers Seol Ah Sun et Jin Kim Hyo et à été présentée lors du Seoul Design Olympiad.
Certains se montrent sceptiques quant à son rendement, son coût, et la qualité de l'eau récoltée, cette eau n'est en effet pas filtrée, les deux designers promettent néanmoins une eau propre pouvant être consommée, et un prix abordable.
Pour ce qui est du rendement, ce système permettrait de remplir une tasse d’eau en quatre heures.

Ce projet est encore à analyser soigneusement, mais dors et déjà il a pour lui sa résistance à la corrosion, à la chaleur et au froid

Certes son rendement est bien inférieur à celui d'EoleWater, mais son coût sera certes moindre aussi.

Projet à suivre quoi qu'il en soit

Le Savior bud sur le site Seoul Design Olympiad 2009