samedi 26 décembre 2009

Pourquoi c'est tombé sur les mexicains


Documentaire à regarder, et pas seulement pour l'origine de LA grippe, mais pour un ensemble de conditions et surtout leur causes, les répercutions de certaines pratiques sur les populations environnantes, dans l'indifférence (voir avec la complicité) de..... certains

samedi 28 novembre 2009

CO2 Certify

crédit image IEW


Le communiqué de presse d'IEW

La compensation CO2 enfin encadrée



La Fédération Inter-Environnement Wallonie propose une Charte visant à garantir

la qualité et la fiabilité des programmes de compensation proposés en Belgique.



La compensation volontaire des émissions de CO2, tant dans le cadre professionnel qu'au niveau privé, est devenue très tendance. Les initiatives pour calculer ses émissions de carbone et les « annuler » en finançant des projets qui contrebalancent positivement l'impact sur l'effet de serre se multiplient. Toutefois, faute d'un cadre réglementaire clair, le choix du programme de compensation s'avère particulièrement difficile voire aléatoire.

Afin de garantir aux clients potentiels la qualité et la fiabilité des programmes proposés, la Fédération Inter-Environnement Wallonie a rédigé une « Charte de bonnes pratiques » que les opérateurs signataires s’engagent à respecter.



Pour la fédération environnementale, la compensation carbone constitue l’ultime étape du processus mis en ouvre par des particuliers ou des entreprises pour tendre vers la neutralité carbone. Elle ne peut intervenir qu’après – ou conjointement à – la mise en œuvre d’efforts concrets de réduction des émissions. Autrement dit, elle ne saurait s’apparenter à un système d’indulgences permettant de polluer pourvu qu’on y mette le prix. Ce préalable étant posé, il importe que la compensation garantisse à ceux qui y recourent une efficacité optimale.



En 2007 et 2008, la Fédération avait demandé à André Heughebaert, chercheur à l'ULB, de réaliser une étude afin de porter un jugement indépendant sur l'offre des divers opérateurs actifs sur le marché belge. L'objectif était de permettre aux consommateurs de choisir en parfaite connaissance de cause et, accessoirement, de stimuler le secteur à progresser. C’est dans le même esprit qu’Inter-Environnement Wallonie et M. Heughebaert ont collaboré à la rédaction d’une « Charte de bonnes pratiques » que les opérateurs sont invités à ratifier.


Ce document a été conçu autour des trois principes majeurs :

- l’harmonisation des définitions et des messages sur la compensation volontaire ;

- la rigueur et l’équilibre, les programmes proposés devant démontrer que les réductions d’émissions qu’ils génèrent sont « réelles, vérifiables, additionnelles et garanties » et que leur création, enregistrement et traçabilité sont clairement garantis ;

- la transparence de l’information relative aux programmes grâce à la mise à disposition, sur un site portail dédié (www.CO2certify.be), de cette information selon un format standardisé permettant la comparaison entre les opérateurs et leurs projets.



Pour la Fédération Inter-Environnement Wallonie, cette Charte constitue un pas dans la bonne direction mais est loin d’être suffisante. Il appartient aux pouvoirs publics de prendre le relais en mettant en place un système de certification et de contrôle des programmes de compensation. Les députées fédérales Martine Schyns (cdH) et Tinne Vanderstraeten (Groen !) viennent de déposer une proposition de résolution en ce sens. Espérons qu’elle seront suivies.

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A lire:
La charte

samedi 21 novembre 2009

Rejoignez-les !!!!

Ces artistes vous y invitent




Le changement climatique, tout le monde en parle. Ce qu'on dit moins, c'est que ses conséquences sont d'ores et déjà dévastatrices : écosystèmes ravagés, variabilité climatique extrême, hausse du niveau des océans... Plus de 250 millions de personnes en sont dès à présent victimes dans les pays les plus pauvres : inondations, sècheresses ravageant les récoltes, propagation des maladies tropicales, pénuries d'eau, migrations forcées...

Il est urgent d'agir. Sans action forte et rapide de la communauté internationale, et de la France en particulier, lors de la conférence de l'Onu sur le climat qui se tiendra à Copenhague, en décembre prochain, nous allons droit dans le mur...

Décidez de ne pas rester inactif(ve), agissez maintenant !
Rejoignez les centaines de milliers de citoyens réunis autour de l'Ultimatum climatique pour demander un engagement en faveur d'un accord historique à Copenhague, qui soit contraignant et juste pour sauver l'avenir de la planète.

Avec les artistes et bien d'autres, signez l'appel et faites passer le message autour de vous !

dimanche 15 novembre 2009

C’est du Belge !!!!

Une loi cent pour cent à la sauce belge, nos dirigeants se surpassent là !

Cela serait drôle si le sujet n’était pas sérieux.


Le Gouvernement décide de réviser la loi du 5 mai 1997 sur la politique fédérale de développement durable, soit, même si la méthode de travail ( arrêté en conseil des ministres, donc pas de débat parlementaire et très probablement aucune implication de la société civile )



Cette révision à pour but une vision stratégique à long terme de développement durable. Vision comprenant les objectifs à long terme que se fixe le Gouvernement fédéral dans les politiques qu’il mène. Un ensemble d’indicateurs permettant de rendre compte de l’atteinte de ces objectifs sera lui aussi fixé


Où ça devient 100% pur belge c’est que du coup, les objectifs en question pourraient bien changer d’un gouvernement à l’autre….. une législature, pour une stratégie à long terme, c’est drôlement court.


Et cerise sur le gâteau, cette "vision à long terme" risque fort de se limiter aux desiderata de l’Europe et aux engagements internationaux, puisque "la vision à long terme visera principalement à répondre aux engagements souscrits par la Belgique au niveau international et européen".


Pour plus de détails lire le très bon article de Anne de Vlaminck



et aussi le site du Conseil Fédéral du Développement Durable

dimanche 8 novembre 2009

Climat: pour que les décideurs s'engagent

Action du 5 décembre


Venez gonfler les rangs de "La vague pour le climat" avec vos amis et votre famille.

Le samedi 5 décembre 2009 à 14h, place du Luxembourg, Bruxelles. (Métro Trône / gare du Luxembourg)




Astuces :

Venez en transports en commun, à vélo, à pied, en roller, en step...

- Billet Climat de la SNCB : 8,00 EUR aller-retour au départ de toute gare belge.

Infos : www.sncb.be


Le programme du 5/12

"La vague pour le climat" de A à Z

Au point de départ : place du Luxembourg

- Distribution des cartons turquoises qu’il faudra garder précieusement à portée de main
- Invitation à accepter un maquillage facial minimaliste pour symboliser la vague, l’eau et le climat
- Expo vivante composée de jeunes d’ici qui portent des photos d’enfants du Sud (photos de Karl Deckers)
- Projection du clip de Nic Balthazar tourné cet été à Ostende

Pendant la marche : quartier européen

- Encerclement symbolique du Berlaymont
- Des silhouettes turquoises donneront des instructions pour participer activement à la démonstration (notamment grâce aux cartons distribués au point de départ)
- Le parcours sera reconnaissable aux rubans de la même couleur qui pendront sur arbres et poteaux

Clôture de l’événement : entre Schuman et le Cinquantenaire

- Des représentants de la Coalition Climat exprimeront l’urgence des mesures à prendre à Copenhague
- Stands des organisations membres
- Catering équitable


Pour plus de renseignements sur la manifestation: coalition climat.be



dimanche 1 novembre 2009

Un reseau wallon pour une alimentation durable

En 2008 fut créé le RABAD (Le Réseau des Acteurs Bruxellois pour l'Alimentation Durable). Depuis le 27 novembre un réseau similaire est en création au niveau de la Wallonie.(crédit image IEW)



Le jeudi 26 novembre, de 9h30 à 15h30 ce "Réseau wallon pour une alimentation durable", regroupant des associations venues de divers horizons (environnement, agriculture, consommateurs...) propose une journée de rencontres et de travail sur le thème "Construire ensemble un réseau wallon pour une alimentation durable".

Au programme de la journée:

Matinée

- 09h30 : Accueil

10h00 : Présentation du Réseau wallon pour une alimentation durable : historique, objectifs, synthèse du travail réalisé en 2009.

- 10h15 : Proposition d’une vision de l’alimentation durable. Débat avec la salle.

- 11h10 - 11h25 : Pause-café

- 11h25 : Freins et leviers pour développer l’alimentation durable. Débat avec la salle.

- 12h30 : Buffet sandwich du terroir pimenté d’échanges informels

Après-midi

- 13h30 : 4 ateliers thématiques : programme commun d’action(s) 2010

— Atelier 1 : Comment construire une communication grand public sur le thème de l’alimentation durable  ?

— Atelier 2 : Que revendiquer en 2010  ?

— Atelier 3 : Que faire pour rendre la restauration collective plus durable  ?

— Atelier 4 : Comment rapprocher producteurs et citoyens/consommateurs  ?

- 15h00 : Retour des ateliers et conclusions

- 15h30 : Dégustation de bières locales + fromages wallons et échanges

Plus d'info et inscription sur le site d'IEW

lundi 26 octobre 2009

Une éolienne génératrice d'électricité...et d'eau !



Une éolienne capable de produire de l'eau, comment ca marche?

[Credit Image - Eole Water]

A partir de la condensation de l'air.

L'air est aspiré, refroidi par un système alimenté en courant par l'éolienne et l'eau stockée dans le mat, en attendant d'être filtrée.

Et ça peut rapporter gros ... en litres bien sur. Combien? Voir la réponse et les détails ici


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mardi 20 octobre 2009

Festival des Libertés

Au Théâtre National une semaine de films, conférences - débats, théâtre - performance, concerts, expositions

Du jeudi 22 octobre au samedi 31 octobre

image Bruxelles Laïque

- Plus de trente films à l'affiche


- Les sujets des conférences:

* Urbanisme, fragilité sociale et genre.

* Ambivalence du travail de rue?

* La peine (à) demeure

* Système d'Echange Local

* Peuples itinérants

* Au-delà du « choc des civilisations »

* ((La libre circulation : tu parles ! ))

* Après la guerre froide, la paix?

* Mémoires de la colonisation

* Le développement durable en question

* Face à la crise, habiter ensemble

* Menaces sur l'espace humanitaire

* Deux peuples, un mur, quels intérêts ?

* Militer à l'ère post-soviétique!


- Les concerts

* Oumou Sangare

*
Antwerp Gipsy Ska
* Asian Dub Foundation

* Primitiv

* Nathan "Futebox" Lee & The Clinic

* Grand Corps Malade

*Tangawissi

* La Chiva Gantiva

* Abd Al Malik

* W.Victor

* Groundation

* Mocking Birds

* DJ Kwak


Pour plus d'info
: Festival des libertés


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jeudi 15 octobre 2009

Dans Paris à vélo...

Le quotidien d'un cycliste parisien pendant un an
Une petite caméra fixée au casque d'un cycliste nous montre que le danger est à tous les coins de rue. En milieu urbain, les conducteurs de bus, d'autos et même de scooters sont les prédateurs du cycliste. A ne pas montrer aux âmes sensibles ni aux mamans de cyclistes quotidiens.



mercredi 30 septembre 2009

Fête des Simples

Le week-end du 3 au 4 octobre, assistez à la Fête des Simples à Milly-la-Forêt.



Vous y trouverez entre autres:

Marché des producteurs du syndicat SIMPLES:
Tisanes, aromates, huiles essentielles, sirops, bières, apéritifs, liqueurs, cosmétiques, etc…

-30 producteurs des massifs (Alpes, Auvergne, Cévennes, Grands Causses, Jura, Limousin, Pyrénées et Vosges)
-3 groupements de producteurs : Biotope des montagnes (30), GIE plante infuse (48), Sève d’Ariège (09)

Marché des pépiniéristes :
-4 pépiniéristes bios invités par le syndicat SIMPLES.

Forum des associations et organismes :
Alternative Santé, Association pour le Renouveau de l’Herboristerie , ASPRO PNPP, Botakwarel, Cap Santé, Conservatoire National des Plantes Médicinales Aromatiques et Industrielles, CFPPA de Die, CFPPA de Marmilhat, CFPPA de Montmorot, CFPPA de Nyons, Ecole des plantes, Ecole Lyonnaise des Plantes médicinales. Jardins du monde, La Garance voyageuse, La Pensée sauvage, P.N.R. du Gâtinais français, Passerelleco, Plantes et nomades, Réseau Semences paysannes, Savoirs de Terroir.

Mais aussi: expositions, librairie, cuisine sauvage, teinture végétale, cosmétique etc.

Demandez le programme ! ICI

jeudi 24 septembre 2009

Bidoche, un livre!


Vous connaissez Fabrice Nicolino? il vient d'écrire "Bidoche - L'industrie de la viande menace le monde" qui paraitra le 30 septembre, je le laisse vous parlez de lui, de son livre, il le fera bien mieux que moi.

Et retrouvez le aussi sur son blog












Bonjour,

Je suis journaliste à Paris, j'ai écrit une dizaine de livres (dont Pesticides, révélations sur un scandale français), je suis écologiste. Je publie le 30 septembre un livre appelé Bidoche, avec comme sous-titre : L’industrie de la viande menace le monde. Il s’agit d’une première en langue française, qui permet de relier entre eux quantité de fils dispersés. J’ajoute que j’ai le plaisir d’être édité par Henri Trubert, qui vient de quitter Fayard pour créer sa propre maison d’édition, LLL (les liens qui libèrent). À l'heure de cette crise multiforme que nous connaissons tous, je pense que cette petite aventure a un sens. Vous le savez comme moi, sans le soutien décidé des lecteurs-citoyens, une telle entreprise, qui vise à réunir l'esprit et le courage, a peu de chances de s'imposer.



Peut-être votre association voudra-t-elle m'aider à diffuser cette information.Je vous prie de trouver ci-dessous l’introduction de mon livre, qui donne une idée de son ton. Évidemment, vous pouvez faire circuler. J'ajoute que je crée un rendez-vous sur le Net, qui sera ouvert le 29 septembre ICI Avec, dans tous les cas, mes salutations.

Pourquoi j’ai voulu ce livre

Je suis né pour ma part dans le sous-prolétariat urbain de la banlieue parisienne. Ce n’est pas un lieu rieur. Ce ne fut pas un temps calme. Il m’arriva plus d’une fois de rêver meilleur destin. Mais qui choisit ? Il reste que, dans les meilleures années de cette époque engloutie à jamais, ma mère préparait le dimanche midi un roast-beef, un rosbif farci à l’ail qui déclenchait chez nous tous, les enfants de cette pauvre nichée, une émeute de papilles.

Un repas peut-il rendre heureux ? Oui. Un morceau de viande peut-il faire croire, le temps d’une tablée familiale, que tout va bien, que tout va mieux ? Oui. J’ai mangé beaucoup de viande. J’ai pris un grand plaisir à mastiquer, à partager avec les miens ce qui était davantage qu’un mets. Je suis mieux placé que d’autres pour comprendre que manger de la viande est un acte social majeur. Un comportement. Une manière de se situer par rapport au passé maudit de l’humanité, et de défier le sort promis par l’avenir.

Je crois savoir ce que manger veut dire. Mais je dois ajouter que, chemin faisant, j’ai changé d’avis et de goût. Modifier ses habitudes est l’une des vraies grandes libertés qui nous sont laissées. Je l’ai fait. Derrière la viande, peu à peu, les morceaux, hauts et bas, se sont reformés, comme dans les dessins animés de mon enfance, qui ignorent tout de la logique triviale de la vie ordinaire.

Derrière une côte de bœuf, j’ai fini par voir un bœuf. Derrière un gigot, un agneau. Derrière un jambon, un cochon. On peut parler d’un choc, immense et lent. L’histoire que je vais vous raconter n’est pas simple, et j’en suis le premier désolé. Elle peut d’autant plus paraître compliquée qu’elle l’est en réalité. Mais ce n’était pas une raison pour faire un livre pesant. Celui-ci ne devrait pas l’être. On y verra beaucoup d’hommes en action, prenant en notre nom des décisions plus ou moins réfléchies. Avec des conséquences majeures que la plupart ignorent.

Cela explique les tours, détours, ruses et contorsions d’une affaire profonde, qui nous concerne tous. Ce livre sur la viande commande du temps, et de la réflexion. Peut-être est-ce une mauvaise idée de le signaler d’entrée, à l’heure d’Internet et du zapping tous azimuts. Mais c’est ainsi. Au moins ne serez-vous pas trompé sur la marchandise. Il reste que cet ouvrage peut aussi se lire pour ce qu’il est : une formidable aventure aux conséquences inouïes. Où rien n’était inévitable. Où tout aurait dû être pesé. Ou tout aurait pu être contrebalancé. Une histoire pleine de bruit et de fureur, emplie jusqu’à déborder de qualités qui sont souvent de pénibles défauts. Laissez-vous porter par cette vague venue des temps les plus anciens, et posez-vous les bonnes questions, qui vous rendront fiers d’être des humains dignes du mot.

Comment des animaux aussi sacrés que le taureau Hap de la plus haute Antiquité sont-ils devenus des morceaux, des choses, des marchandises ? Pourquoi des techniciens inventent-ils chaque jour, en notre nom, de nouvelles méthodes pour « fabriquer » de la « matière » à partir d’êtres vivants et sensibles ? Pourquoi leurs laboratoires sont-il aussi anonymes que secrets ? Pourquoi l’industrie de la bidoche est-elle dotée d’une puissance qui cloue le bec de ses rares critiques ? À la suite de quelle rupture mentale a-t-on accepté la barbarie de l’élevage industriel ? Pour quelle raison folle laisse-t-on la consommation effrénée de ce produit plein d’antibiotiques et d’hormones menacer la santé humaine, détruire les forêts tropicales, aggraver dans des proportions étonnantes la si grave crise climatique en cours ?

Qui est responsable ? Et y a-t-il des coupables ? La réponse n’a rien d’évident, mais elle existe, dans les deux cas. Ce livre vous convie à une plongée dont vous ne sortirez pas indemne. À la condition de le lire pour de vrai, vous ferez ensuite partie d’une tribu en expansion, mais qui demeure on ne peut plus minoritaire. La tribu de ceux qui savent. Et peut-être même rejoindrez-vous celle qui ne veut plus. A-t-on le droit de se révolter ? On en a en tout cas le devoir.

Je mange encore de la viande. De moins en moins, et désormais si peu que j’entrevois le moment où je cesserai peut-être de le faire. Je ne suis pas un exemple. Je suis exactement comme vous. J’espère en tout cas que nous nous ressemblons assez pour que le dialogue commence. Mais avant cela, il fallait vous faire découvrir le tumulte des relations que nous entretenons avec notre sainte bidoche. Si ce livre devait servir à quelque chose, il me plairait qu’il permette à ses lecteurs de se demander ce qu’ils mangent. Et pourquoi. Et comment.

dimanche 20 septembre 2009

Faire la fête....du sport




Parce que bouger ça fait du bien, parce que faire du sport c'est nécessaire quelque soit l'âge pour conserver une bonne forme physique garante de bonne santé, surtout pour un enfant en pleine croissance, trop souvent assis à l'école, devant l'ordi, la télé, la console de jeu, parce que le sport bien compris c'est aussi une bonne école de vie, et qu'il est important de bien choisir celui qui convient le mieux.

Pour toute ces raisons, rendez-vous au Heysel le week-end des 26 et 27 septembre, pour:
- découvrir en famille plus de 40 sports.
- tester sa conditions physique
- recevoir des conseils de nutritionnistes

L'entrée est gratuite et les 2000 premiers visiteurs auront droit à un petit-déjeuner gratuit

Les plus petits y trouveront chateaux gonflables, grimages, clows


Le programme du week-end et toutes les infos sont sur: http://www.irisport.be/

samedi 12 septembre 2009

Formation : Les Champignons, un monde à part !


Le 4 octobre à Ferrières, de 9h15 à 17h, Education Environnement organise une formation dont le thème est: "Les champigons un monde à part!"

*Promenade en forêt pour une découverte des champignons dans l'écosystème forestier, au-delà du comestible et du toxique.
*Travail d'identification en équipes à partir de critères directement observables et d'outils accessibles.
*Approche du rôle des champignons dans l'environnement et l'histoire de l'homme.
*Et pourquoi pas quelques dégustations, si la nature en fait le cadeau ...


Les objectifs de cette formation :
- Permettre aux participants de situer les champignons à leur juste place bien au-delà de leur aspects gustatifs !
- Découvrir des démarches pour les rendre accessibles à leur public
- Se faire plaisir en partageant la palette sensorielle que ce monde nous offre tant en couleurs qu’en odeurs aussi diverses qu’inattendues…

Infos pratiques :

Journée de 9h15 à 17h. Prévoir pique-nique et chaussures
de marche ou bottes.
Nombre de participants limité à 20.

Pour plus d'info et voir les autres formations offertes :
formation@education-environnement.be
www.education-environnement.be
www.crieliege.be

mercredi 2 septembre 2009

The Big Ask again, pari réussi !

Ils étaient là, ils sont venus, ils ont réussi leur pari!

En attendant la sortie du clip, un petit écho de cette journée particulière, dont je vous parlais ici




sur la page du site de "The Big Ask again", une autre vidéo, et des photos
http://www.thebigaskagain.be/spip.php?rubrique1


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dimanche 23 août 2009

(Gaston La)Gaffe à la planete

Utiliser des vers luisants à la place des ampoules, cultiver des potirons sur le toit du bureau, sortir le cheval pour les petits trajets… L’environnement et les économies d’énergie n’ont plus aucun secret pour Gaston, M’oiselle Jeanne et leurs amis.



Dans le cadre de l’année de la BD, Bruxelles Environnement vous invite à découvrir les trucs et astuces de Gaston Lagaffe pour préserver la nature.

Quatorze dessins extraits de l’œuvre de Franquin, imprimés sur des toiles grand format et tendues sur des structures métalliques sont exposées durant tout l’été dans le Jardin Botanique.
Cette exposition pleine d’humour est gratuite et accessible jusqu’à la mi-septembre .


Le Jardin Botanique est ouvert tous les jours de 8h00 à 20h30 (19h30 à partir du 1er septembre).

Accès Metro Botanique.

dimanche 16 août 2009

Tout bon le miel !

Ce matin j'ai ouvert un des pots de miel d'acacia ramenés de ma dernière ballade dans les monts d'Auvergne.
Un délice ce miel, je ne vais jamais en Auvergne sans passer par ce petit village sur le marché duquel on rencontre un jeune apiculteur amoureux de ses abeilles.

Cela m'a donné l'idée de remettre ici la liste des miels d'un ancien article qui reprenait plusieurs miels, et les bienfaits que chacun apportait.

Comme toujours c'est là un simple petit coup de pouce à un traitement médical



- AUBEPINE
:
aspect:
couleur: blanche
arôme: léger et délicat
cristallisation: fine

indications:
1. calmant, tonique du coeur;
2. antispasmodique;
3. diminue l'excitation du systeme nerveux.
4. Indiqué pour artérioscléreux, dyspeptiques; calme troubles nerveux dus à la ménopause.

- ACACIA:
aspect:
couleur: ambrée
arôme: doux et floral
cristallisation: lente et tres fine,cristaux transparents; facilement soluble

indications:
1. émollient des voies digestives,
2. expectorant leger,
3. légèrement sudorifique,
4. antispasmodique,
le mieux adapté aux diabétiques

- EUCALYPTUS:
aspect:
couleur: ambre clair à foncé selon récolte
arôme: touche mentholée et aromatique
saveur: prononcée et persistante, légèrement acidulée
cristallisation: compacte et fine; facilement soluble

indications:
1. traitement en profondeur des angines saisonnière et de la toux du fumeur;
2. régulation de la flore intestinale;
3. agirait sur la vesicule biliaire.
4. Désinfectant des voies urinaires.

- LAVANDE:
aspect:
couleur: légèrement ambrée à tendance rosâtre
arôme: fin et parfumé
saveur: délicate et très persistante
cristallisation: rapide et très fine; facilement soluble

indications:
1. excellent antiseptique des poumons et bronches;
2. utilisé dans les toux récidivantes,
3. asthme,
4. coqueluche,
5. grippe,
6. laryngite;
7. très tonique,
8. antispasmodique,
9. diurétique
10. antirhumatismal,
11. céphalique.
Recommandé dans faiblesse du coeur et en cas d'enterite ou dysenterie.

- ROMARIN:
aspect:
couleur: orangée
arôme: fort et persistant
saveur: légèrement piquante et vivace
cristallisation: très rapide à cristaux maintenus en groupe; peu soluble

indications:
1. dépuratif et antiseptique;
2. forte teneur en invertine et phéromones;
3. action fortement sédative dans certains cas de dépression et surmenage;
4. favorise fonctions du foie et vésicule (indiqué dans ascites avec gros foie, cirrhose, ictère, engorgements).

- TILLEUL:
aspect:
couleur: ambre claire à tendance légèrement verte
arôme: particulier au tilleul, fin et pénétrant
saveur: fortement parfumée, demeurant en bouche
texture: granuleuse, fine
cristallisation: lente et irrégulière à cristaux pointus

indications:
1. sédatif,
2. antispasmodique,
3. calmant des affections nerveuses;
4. facilite la digestion en agissant sur la vésicule biliaire
5. aurait une action sur les migraines digestives;
6. très reconstituant

- TREFLE:
aspect:
couleur: blanche
arôme: délicat et peu prononcé
saveur: ténue mais persistante avec une touche acidulée
cristallisation: fine à tendance crémeuse

indications:
1. miel calmant,
2. facilite le sommeil ainsi que la circulation de retour;
3. expectorant et émollient;
4. sert de coupage et à la préparation des miels crémeux

- THYM et Serpolet:
aspect:
couleur: ambrée, sombre
arôme: fort et légèrement piquant
saveur: forte et musquée
cristallisation: irrégulière, tres soluble

indications:
1. antiseptique,
2. emménagogue,
3. digestif, tonique;
4. facilite la récupération physique et le tonus musculaire;
5. employé dans le traitement des fatigues nerveuses;
6. utile dans les affections respiratoires.


- PIN, SAPIN:
aspect:
couleur: sombre tendant vers le brun foncé avec des nuances vertes
arôme: fortement aromatique et balsamique; légère odeur de résine
saveur: douce, peu persistante
cristallisation: lente; facilement soluble

indications:
1. particulièrement recommandé dans les affections respiratoires;
2. aide digestion et sommeil;
3. répute comme antiseptique des bronches et parties aériennes supérieures;
4. aurait influence psychologique benefique dans les dépressions nerveuses.

dimanche 9 août 2009

Même la frite !

Oui, chez nous même la frite se veut bio (quoi de plus normal n’est ce pas), non, non, pas celle que vous achetez surgelée, ni celle qu’on vous sert au restaurant !



Non, il est question ici de la bonne et belle frite de friterie, celle qu’on vous sert dans un ravier et que, depuis le 1er avril, vous dégustez en musardant entre les étals de la place Sainte Catherine à Bruxelles.

Une première en Belgique cette friterie bio, on la doit à Hans et Kathleen.
Hans a 40 ans, originaire de Ninove, il travaille toujours en tant qu’ouvrier et est un des musiciens du groupe Damn your idols.
Kathleen a 33 ans, originaire de Gand, elle a travaillé dans plusieurs secteurs, mais surtout comme éducatrice dans une communauté thérapeutique sociale, et à cette occasion dans le secteur bio et la cuisine végétarienne.

Une envie de faire découvrir toute les bonnes choses ignorées de la plus part des gens, monter que la cuisine végétarienne peut réjouir autant les palais que les estomacs, éveiller la curiosité, l’interêt pour cette cuisine, alliée au désir d’offrir une alternative saine au casse-croute hamburger, sandwich viande-mayo et autres. généralement offert en "extérieur", et puisque belge on est…. l’idée d’une friterie fleurit.

Elle s’est concrétisée le 1erAvril 2009 sous forme d’une accueillante camionnette verte, devant laquelle se placent quelques tables, au marché Sainte Catherine où on la retrouve un week-end sur deux (les week-en pairs)

On la trouve aussi toutes les semaines au marché bio de Gand et, à la demande, ils organisent également des apéros, préparent des produits spécifiques (hot dog bio)...

Au menu vous pouvez trouver des frites de pommes de terre ou de légumes, croquettes au fromage, hamburgers végétariens, " pistolets" fourrés, les sauces etc.

Absolument tout est bio, et de préférence belge et de saison.

A consommer sans modération

samedi 1 août 2009

De blés et d'autres

Blés tendres , blé durs, poulards, amidonniers, grands épeautres, avec ou sans barbes, rouges, verts, jaunes, blancs, ondulant, courbés, dressés, seigles et orges anciens. Cela vous dit quelques chose ? Vous voyez de quoi il est question?





Si oui vous avez de la chance, une chance que pourraient ne pas avoir les générations futures, face à l’uniformisation des cultures, par l'industrialisation de l'agriculture et ses conséquences sur la disparition de la biodiversité cultivée d’une part, les réglementations qui peu à peu dépossèdent les paysans de leurs droits sur les semences et menacent grandement la culture de cette biodiversité d’autre part.


Il y a quelques semaines se tenait une réunion du Traité sur les ressources phytogénétiques, traité qui reconnaît les droits des agriculteurs à conserver, cultiver, ressemer leurs semences, mais qui a bien du mal à faire exister ces droits face aux droits de propriété intellectuelle et aux réglementations sur le commerce des semences.
….et pourtant !


Et pourtant, les 150 paysan(ne)s, artisan(e)s, technicien(ne)s et chercheur(se)s, venus de divers pays d'Europe et méditerranéens, rassemblés à Port Sainte-Marie dans le Lot et Garonne pour les rencontres RENABIO (renaissance de la biodiversité céréalière et des savoir-faire paysans ) ont montré la richesse de cette biodiversité, et des savoirs-faire y afférant.


Pour en savoir plus sur ce qui c’est fait et c’est dit à RENABIO, la page de Réseau Semences Paysannes http://www.semencespaysannes.org/echangeons_savoir-faire_cultivons_diversite_378.php


Pour tout ce qui se rapporte au Traité sur les ressources phytogénétiques http://www.planttreaty.org/texts_fr.htm



mardi 28 juillet 2009

Devine, qui papillonne au jardin ?

Les 1er et 2 août 2009, participez à la 3e édition de « Devine, qui papillonne au jardin ? »





Grâce à votre collaboration, Natagora peut suivre au fil des ans l’évolution des populations de papillons dans nos jardins.

Cette année le grand comptage national a lieu le week-end des 1er et 2 août, et Natagora vous invite à y participer. Votre collaboration assurera ainsi un suivi de la biodiversité.

Vous trouverez une brochure détaillée à télécharger sur le site www.papillonsaujardin.be. Celle-ci vous permettra de déterminer les différentes espèces de papillons les plus fréquemment observées dans nos jardins et de noter vos observations. Pas besoin d’être un spécialiste pour y participer.

Vous trouverez également sur le site une liste de fleurs qui les attireront dans votre jardin !


(Source IEW)

samedi 18 juillet 2009

Appel aux figurants : Venez danser pour le climat !

Le samedi 29 août 2009, rendez-vous sur la Petite Plage d’Ostende à 14h pour le tournage du clip “The Big Ask again”.



Soyez là et faites passer le mot en transmettant, car nous avons besoin de plus de 10.000 figurants !

Sur des rythmes endiablés, nous exécuterons une chorégraphie, qui sera filmée et fera le tour de la planète.

Objectif : exiger des décideurs du monde entier qu’ils prennent des mesures pour sauver le climat.

L’événement aura lieu à 100 jours du sommet de Copenhague tenu par les Nations Unies. Successeur de Kyoto, Copenhague est littéralement d’une importance vitale. Tous ensemble, nous montrerons à nos leaders politiques combien le réchauffement climatique est un problème prioritaire pour la majorité de la population.

The Big Ask again est une initiative du réalisateur belge Nic Balthazar, en collaboration avec la Coalition Climat, avec le soutien de Alain Hubert et la présence de nombreux artistes.

Le climat a besoin de vous! Vous souhaitez vous impliquer encore davantage ? Rejoignez le « Big Task force » comme bénévole.

Samedi 29.08.2009 - 14 h - Petite Plage - Ostende
Infos :

info@thebigaskagain.be,
www.thebigaskagain.be.

mercredi 1 juillet 2009

Palmes et Chardon 2009 à Bruxelles

Inter-Environnement Bruxelles décerne depuis 1987 ses Palmes et Chardon pour l’année écoulée. Ces prix récompensent et stigmatisent des actions, des réalisations, des projets ou des personnes en rapport avec le développement urbanistique, la défense de l’environnement et l’amélioration du cadre de vie à Bruxelles.

La Palme est attribuée à un acteur, une personnalité ou une institution publique ou privée qui s’est particulièrement distinguée dans la défense ou l’amélioration de la ville telle que nous la concevons.

Le Chardon est décerné à une personnalité ou une institution qui a contribué de manière significative à la dégradation de l’environnement urbain.

Occasionnellement, une Palme d’honneur récompense une personnalité, une œuvre ou une institution qui a contribué à mettre en valeur l’image de la Région de Bruxelles-Capitale.

La Palme 2009 est décernée à l’asbl Rassemblement Bruxellois pour le Droit à l’Habitat (RBDH), pour son action de contrôle au quotidien de la politique du logement, sa capacité à allier analyse et actions sur le terrain, notamment en soutenant les plus désespérées d’entre elles et pour son souci constant de donner un visage à la détresse humaine que l’accès difficile au logement provoque chaque jour.

Le Chardon 2009 est décerné à la Ville de Bruxelles, pour sa gestion du dossier «Heysel», pour sa gestion cahotique d’un site qu’elle a décidé, tel un État dans l’État, de rentabiliser au maximum, en en confiant le sort dans la plus pure opacité à la société anonyme Excs.

Une Palme d’honneur est décernée à Denis Grimberghs, pour ses 20 ans de carrière politique au service des Bruxellois.


La Palme 2009 est décernée à l’asbl Rassemblement Bruxellois pour le Droit à l’Habitat (RBDH)

L’équipe du Rassemblement Bruxellois pour le Droit à l’Habitat (RBDH) à qui a été remise la Palme 2009
L’équipe du Rassemblement Bruxellois pour le Droit à l’Habitat (RBDH) à qui a été remise la Palme 2009.

Le RBDH est un regroupement d’associations qui, chacune sur son terrain, œuvrent pour la réalisation du droit à l’habitat. Un réseau qui entreprend des actions et réalise des projets pour mettre en place un véritable droit à l’habitat. L’association constitue un lieu d’échange, d’information et de réflexion sur l’habitat et le logement à Bruxelles, elle est aussi moteur dans une série d’actions coordonnées basant son crédo sur l’article 23 de la constitution: «Chacun a le droit de mener une vie conforme à la dignité humaine. Ce droit comprend le droit à un logement décent.»


Le Chardon 2009 est décerné à la Ville de Bruxelles, pour sa gestion du dossier «Heysel»

Le Heysel, gestion médiocre pour le site de tous les désirs

Héritage du glorieux passé de l’urbanisme fonctionnaliste d’après guerre, le site du Heysel s’insère dans la longue chronologie des Expositions bruxelloises. On oublie en effet souvent que le site connut sa première phase d’urbanisation lors de l’exposition universelle de 1935, affectation renforcée lors de l’Expo phare de 1958 qui donna sa tonalité définitive au site: territoire à caractère exclusivement événementiel, manquant singulièrement de cohérence. N’oublions pas que le site est bordé d’habitations, dont la Cité Modèle et la Cité Verregat.


La palme d’honneur 2008 est décernée à Denis Grimberghs

Denis Grimberghs, palme d’honneur 2008
Denis Grimberghs (à gauche) reçoit la palme d’honneur 2008 des mains de Gwenaël Breës, Président d’IEB, en compagnie d’Isabelle Pauthier, Directrice de l’ARAU.

L’Assemblée générale d’Inter-Environnement a accepté à l’unanimité lors de sa réunion du 9 juin la proposition qui lui était faite par le Conseil d’Administration de décerner une palme d’honneur à Monsieur Denis Grimberghs à l’occasion de sa décision de mettre fin à 20 ans de carrière politique menée au bénéfice de tous les Bruxellois.

Cette décision de l’AG est motivée par deux aspects principaux:

  • d’une part, à l’occasion des 20 ans de la création de la Région de Bruxelles-Capitale, IEB a voulu mettre en évidence, au travers de la carrière de Denis Grimberghs, l’apport du travail du Parlement à l’élaboration du modèle bruxellois, à la définition et à la mise en oeuvre de politiques adaptées aux besoins des Bruxellois. Cette palme d’honneur est aussi pour IEB une manière de souligner la qualité du travail accompli par le Parlement bruxellois pendant ses 20 années d’existence ainsi que sur son rôle de contrôle du Gouvernement. Grâce aux interpellations des parlementaires, les Bruxellois sont éclairés sur les enjeux et débats qui animent la vie politique, sociale et économique.
  • D’autre part, IEB veut également mettre en lumière les relations fécondes possibles entre les habitants, la société civile et les élus. Denis Grimberghs a en effet été, tout au long de sa carrière, à l’écoute des revendications des associations avec lesquelles il a toujours été prêt à débattre sans complaisance. Comme représentant de la population il a relayé des demandes et des idées défendues par le monde associatif. La démocratie participative peut ainsi alimenter la démocratie représentative.
Pour plus de détail: http://www.ieb.be/article/1922/

(Source et photos IEB )

vendredi 26 juin 2009

Quand le bio passe à la télé, c'est pas gagné!

Ce 17 juin est passée sur les onde de la RTBF une émission traitant du bio, enfin, en traitant d'une "certaine" façon.
Pour clarifier quelques points importants, plutôt que d'écrire un article, je reprends le dernier communiqué de Bio-Forum sur le sujet

image Bioforum.be

Vous avez certainement vu ou entendu parler de l’émission « Question à la Une », diffusé sur la Une le 17 juin 2009 intitulée « Bio, vous avez dit bio ? ». Cette émission a soulevé beaucoup de questions. Nous ne nous positionnerons pas sur les réponses qu’elle y a donné tant l’information était incomplète et erronée, le parti pris de l’émission étant de semer le doute dans la tête des téléspectateurs. Cette émission diffusée juste après la Semaine Bio dont le slogan était « Le Bio, c’est bon d’avoir confiance » a suscité de nombreuses réactions tant au niveau des professionnels du bio que des consommateurs.

Plutôt que de répondre à ces allégations par voie de presse, nous pensons qu’il est préférable de communiquer sur le long terme avec vous, de façon claire. Vous trouverez ci-joint un communiqué qui répond aux questions soulevées par le reportage.

Le communiqué:
----------------------

Bio, vous avez dit bio ?
(titre du « Question à la Une » diffusé le 17/06 sur la Une)

Oui, nous disons BIO !

Suite au reportage de « Question à la Une » intitulé « Bio, vous avez dit bio ? », de nombreux
consommateurs se posent des questions. Il est important de rappeler les valeurs et les règles strictes qui régissent le secteur bio.

Les questions soulevées par « Question à la Une » sont sérieuses et récurrentes. Il faut y répondre avec sérénité et objectivité.

L’indépendance des organismes de contrôle

En Belgique, les 2 organismes de contrôle, Certisys et Blik-Integra, sont agréés par les Autorités
publiques qui supervisent leur fonctionnement et ont accès à leurs installations. Des vérifications des contrôles sont également réalisées par les autorités compétentes.
La transparence totale des organismes certificateurs est de mise: accès en ligne de la liste des opérateurs certifiés, rapports d’activités aux Autorités officielles, échange d’informations entre les différents organismes de contrôle, coopération en cas de crises, etc.


Le prix des produits bio

La différence moyenne de prix entre un produit conventionnel et un produit bio est de 30%. Cette différence s’explique par plusieurs facteurs : l’agriculture biologique utilise plus de main d’oeuvre et les rendements sont généralement plus faibles car le recours aux fertilisants chimiques et aux produits phytosanitaires de synthèse sont strictement interdits. Le coût environnemental et sanitaire des produits conventionnels n’est pas intégré dans le prix de vente, il sera payé par la collectivité et les générations futures.
En achetant des produits bio locaux et de saison, mais aussi en diminuant le gaspillage alimentaire et en remplaçant une partie des protéines animales par des protéines végétales, il est possible de
s’alimenter en bio sans augmenter son budget alimentation.

Le bio dans les grandes surfaces
Les produits bio vendus en grande surface répondent aux mêmes exigences et aux mêmes contrôles que les produits bio vendus dans les magasins bio, à la ferme ou sur les marchés.
La logique de commercialisation de la grande distribution impose ses contraintes aux producteurs bio (logistique, prix, calibrage, etc.).
Aujourd’hui, même si 60% des ventes de l’alimentation bio en Belgique se fait via la grande
distribution, il existe d’autres systèmes de distribution : les magasins bio, les marchés, les abonnements paniers, les Groupe d’Achats Communs ou Solidaires (GAC ou GAS), l’achat à la
ferme, etc.

Les produits bio d’importation
A ce jour, de nombreux produits bio arrivent de l’étranger. Ceci est dû au fait que la demande est plus importante que la production. C’est particulièrement vrai dans la filière fruit/légumes où les produits étrangers viennent compléter l’offre locale. De nombreux efforts sont réalisés pour proposer plus de produits locaux dans les commerces bio mais également dans les grandes surfaces et via les autres canaux de distribution. Le secteur se structure et la professionnalisation gagne du terrain pour répondre à la demande en produits bio régionaux.

Le bio, un secteur où la fraude est récurrente ?

Le secteur bio subit des fraudes comme tous les autres secteurs. Les produits bio sont soumis aux mêmes contrôles que les produits conventionnel (AFSCA, répression des fraudes, etc.) et subissent en plus des contrôles pour le respect du cahier des charges bio. Des manquements et des fautes sont décelés chaque année par les organismes de contrôle. Les sanctions sont appliquées de façon impartiale suivant un barème de sanctions pouvant aller jusqu’à l’exclusion de l’opérateur et l’interdiction totale de commercialisation des produits bio. Ce régime de sanctions est légiféré par les autorités publiques.

Le bio, un choix d’avenir !
Le bio, dans toute sa diversité est basé sur des valeurs : Santé, Ecologie, Equité et Précaution. Le bio ne pourra se développer harmonieusement qu’en s’appuyant sur ces valeurs qui viennent compléter la réglementation européenne. C’est sur cette base que le secteur souhaite voir se développer l’agriculture biologique. C’est indispensable pour le secteur. C’est indispensable également pour le consommateur qui pourra retrouver la confiance en se nourrissant de produits issus d’une agriculture de proximité.

Plus d’infos :
BioForum Wallonie
Chaussée de Namur 47 – 5030 Gembloux
T. 081/61 46 55 – F. 081/61 01 45
Laurence Lambert, 0496/35.28.31
laurence.lambert@bioforum.be
Sites web à consulter :
www.bioforum.be
www.certiys.eu
www.blik.be

jeudi 18 juin 2009

Foire aux savoir-faire

Rien ne s'achète, rien ne se vend, tout se crée". Telle est la philosophie de la Foire aux savoir-faire.






Pour sa 4e édition, elle se tiendra ce samedi 20 juin de 11 à 18 h, sur la place de la Monnaie, à 1000 Bruxelles.


Vêtements, produits d'entretien, produits de beauté, cuisine au naturel, pain, jeux pour enfants, décorations, compost, etc., tous les savoir-faire sont présentés par des bénévoles soucieux de partager leurs recettes et leurs techniques. Donner le goût et les techniques de faire par soi-même pour le plaisir d'apprendre, d'exercer sa créativité, d'adoucir son impact sur l'environnement et d'ajuster sa consommation à ses besoins.
Infos : www.foiresavoirfaire.org.

jeudi 4 juin 2009

Voyageons autrement

Ecotourisme, tourisme durable, tourisme solidaire, diverses notions qui peuvent se résumer en deux mots : voyager autrement.



Je vous propose de découvrir un site qui traite du sujet, fourmille d'info pratiques, de news, de bonnes adresses etc.

- Comment pratiquer l'ecotourisme solidaire avec Amérik Aventure?
- En savoir plus sur le n°2 du Guide du Routard Tourisme Durable.
- Découvrir les impacts et enjeux du tourisme etc., rendez-vous sur: www.voyageons-autrement.com



samedi 30 mai 2009

Pourquoi le cerveau n'est-il pas vert

Cerveau humain et sensibilité écologique n’iraient pas de pair. Il s’agit plus précisément, nous précise un article de Jon Gertner, paru le 16 avril 2009 dans le New York Times, d’une incompatibilité entre le fonctionnement du cerveau humain et la prise en compte d’enjeux à la long terme, en l’occurrence ici, les changements climatiques.





Un extrait de cet article:

"En mode analytique, nous ne sommes pas toujours des adeptes de la réflexion à long terme ; les expériences ont montré un fréquent désintérêt pour les bénéfices différés, par conséquent nous sous-évaluons les résultats promis dans l’avenir. (Si on nous donne le choix, nous préférons habituellement dix dollars dans l’immédiat, à, disons, vingt dollars dans deux ans.)

D’un point de vue environnemental, cela signifie que nous serons bien peu susceptibles d’apporter des changements à notre style de vie pour garantir un climat futur plus sûr. Laisser les émotions déterminer comment nous évaluons le risque comporte d’autres problèmes. Il est pratiquement certain que nous sous-estimons le danger de la hausse du niveau des mers ou des sécheresses de grande ampleur ou d’autres événements que nous n’avons jamais connus et qui semblent éloignés dans le temps et l’espace. Pire encore, la recherche de Weber semble démontrer que nous avons une « capacité limitée à intégrer les problèmes », ce qui signifie que nous sommes incapables de continuer à nous soucier du changement climatique quand un autre problème — chute de la Bourse, urgence personnelle — se produit. Nous remplaçons simplement une peur par une autre dans notre « boîte à soucis ».

Et qu’en serait-il, même si nous pouvions rester perpétuellement concernés par le réchauffement climatique ? Weber a décrit ce qu’elle appelle « le syndrome de la mesure unique ». Poussé par un signal d’alarme d’ordre émotionnel, nous achetons une chaudière plus efficace ou isolons notre grenier ou votons pour un candidat vert — une seule mesure qui effectivement réduit le réchauffement climatique, en tant que motivation. Et cela nous ramène au point de départ."

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Pour lire l'article du journaliste Jon Gertner :
http://www.humains-associes.org/blog/2009/05/17/pourquoi-le-cerveau-nest-il-pas-vert/


Article du journaliste Jon Gertner, publié le 16 avril 2009 dans le New York Times, traduit par Les Humains Associés








jeudi 28 mai 2009

Rendez-vous avec la planète et Yann Arthus-Bertrand le 5 juin

A ne pas rater:

Le 5 Juin c'est la journée mondiale de l'environnement
Le 5 juin Yann Arthus-Bertrand va offrir une projection gratuite de Home, son film coproduit par Luc Besson et le groupe PPR, le film sera projeté dans le monde entier et diffusé libre de droits, à la télévision et sur Internet.
On pourra aussi le voir au cinéma (à tarif réduit) et en DVD (vendu à prix coûtant dont 1 euro reversé à GoodPlanet).

Le synopsis: "En quelques décennies, l'homme a rompu un équilibre fait de près de 4 milliards d'années d'évolution de la Terre et met son avenir en péril. Le prix à payer est lourd, mais il est trop tard pour être pessimiste: il reste à peine 10 ans à l'humanité pour prendre conscience de son exploitation démesurée des richesses de la Terre et changer son mode de consommation. En nous offrant les images inédites de plus de 50 pays vus du ciel, en nous faisant partager son émerveillement autant que son inquiétude, Yann Arthus-Bertrand pose, avec ce film, une pierre à l'édifice que nous devons, tous ensemble, reconstruire."

Un aperçu avec la bande annonce



Où et comment:

Dès le 5 juin au matin:
Sur Internet: mise à disposition gratuitement du film: -http://www.youtube.com/homeproject
Dans les cinémas français : toute la journée, une série de débats et rencontres organisés avec les associations. Billet à prix très réduit.
Au Champ de Mars à Paris : une projection numérique et gratuite du film:
le 5 juin à 22 heures.
Sur France 2 : diffusion de la version télé du film, le 5 juin à 20h35 en prime time suivie d’une programmation spéciale.
A la FNAC: une exposition de photos pour accompagner à partir du 5 juin la vente exclusive du DVD à prix coûtant.

Le site du film: http://www.home-2009.com/fr/index.html

mardi 26 mai 2009

Les envahisseuses venues d'ailleurs

Aster sp. et Impatiens glandulifera (photo FUSAGx-Labo d'Ecologie)


Si jolies, mais....

Plus les voyages se multiplient, plus les échanges le font aussi bien sur, y compris au niveau de la faune et de la flore.

Ce n'est pas nouveau, d'après le Dr Sonia Vanderhoevent cela aurait même débuté vers le XVem siècle, limite fixée de façon un peu arbitraire mais il en faut bien une. Evidement à l'époque les échanges étaient plus limités qu'à présent, même si la situation a déjà évolué avec le "Nouveau Monde" et des échanges commerciaux plus intenses.

Vu l'augmentation des voyages et des échanges commerciaux, depuis une dizaine d'années, les dangers des espèces exotiques invasives sont apparus, ou tout au moins ont fait l'objet d'une prise de conscience.

Danger tout d'abord pour la flore indigène, le maintient et la diversité de celle-ci, une plante comme la renouée asiatique étouffe tout autre végétation et comme elle est aussi résistante que prolifique..., danger aussi pour la faune car on a constaté un impact sur celle-ci, de même sur les micro-organismes du sol et la pollinisation.

Berce du Caucase (photo FusagGx-Labo d'Ecologie)

Danger également pour l'homme avec certaines exotiques particulièrement allergisantes qui provoquent des brûlures, comme l'ambroisie à feuilles d'armoise ou la berce du Caucase dont la sève est très photosensibilisante de par la présence d'une phototoxique, la furanocoumarine (pour traité cette plante il faut gants, lunettes etc. )

Renouée asiatique (photo FusagGx-Labo d'Ecologie)


Ces plantes sont difficiles à éradiquer, et les efforts fait pour les contenir, voir les supprimer des lieux où elles ne sont pas indigènes, parfaitement inutiles si chacun n'y met pas du sien et évite de planter ou semer n'importe quoi dans son jardin, parce que c'est "joli" ou "pratique" vu que cela étouffe les plantes dont on ne veut pas chez soi.

Un peu de réflexion, de bon sens et de temps pris pour se renseigner avant d'agir, seront une aide précieuse pour les spécialistes aux prises avec ses invasives, et un bienfait pour notre faune et notre flore.

Le laboratoire d'écologie de la faculté de Gembloux vient de sortir un guide en ligne pour s'y retrouver dans les principales espèces invasives. http ://www.fsagx.ac.be/ec/gestioninvasives/Pages/accueil.htm




lundi 25 mai 2009

Ses pemiers pas

.... pour l'eau




mercredi 13 mai 2009

Confiture de vieux garçons

Je vous l'avais promise, la (re)voici:


La recette:
- Des fruits bien murs (mais ni trop murs, ni abimés ) groseilles, cerises, prunes, pêches etc. selon la saison, et au fil des saisons (vous pouvez ajouter simplement dans le même pot, en veillant à garder le rapport fruits, sucre, eau de vie)

Pour 1 kg de fruits:
- 450 gr de sucre
- 4 dl d'eau de vie blanche à 45°

Un grand pot pouvant contenir plusieurs kilos de fruits et fermant hermétiquement, l'ébouillanter avant de l'utiliser.

- Y placer les fruits de saison, lavés et épongés.
- Ajouter le sucre, l'alcool (il doit recouvrir les fruits, en ajouter si nécessaire).
- Tapoter un peu le fond du bocal pour tasser les fruits et chasser l'air.
- Refermer hermétiquement.
- Garder au frais et à l'abri de la lumière, ajouter éventuellement de l'alcool si le niveau baisse et ne recouvre plus les fruits.

Il faut retirer les noyaux des pêches, prunes etc., sauf les cerises qui elles seront simplement équeutées; groseilles, cassis etc. égrainés.
Pêches, brugnons, abricots, prunes etc. coupés en deux ou en quatre selon leur taille, le melon en petit dé, ainsi que la poire.
Le raisin sera pelé et épépiné.

- attention aux fraises et aux framboise qui, tout comme le melon, ont un goût très prononcé qui peut masquer ceux des autres fruits, n'en mettre que très peu si on désire les utiliser tout de même.
- pas trop de poire non plus car elle rend trop d'eau, tout comme le melon d'ailleurs
- les fruits exotiques: mangue, banane etc. peuvent bien entendu être également utiliser.

Un petit plus: si vous pouvez, faites un bocal uniquement avec des fruits rouges: fraises, myrtilles, groseilles rouges, cerises, griottes, cassis et prunelles par exemple

Attention: les fruits tels que prunes, mirabelles, quetsche doivent être frais et en parfait état sinon il risquent de s'abimer et de donner un goût peu agréable à la liqueur.

Bonne dégustation.....mais avec modération.

samedi 9 mai 2009

La dématérialisation

Publié par le Crioc - Recherches et analyses - Consommer malin

La dématérialisation
consiste à assurer le même niveau de bien-être avec moins de matière. Non seulement le produit ou le service est de qualité identique ou même supérieur mais, en plus, il permet de limiter son impact sur l'environnement.
Plus de services, moins de produits

Les technologies de l'information permettent de limiter l'utilisation de la matière, comme tous les services non matériels.

Moins de matière
Pour les services matériels, la dématérialisation va chercher à remplacer des produits par des services ou à produire des objets éco-efficients à la durée de vie prolongée.
L'impression de données informatiques est parfois inutile.
- 16 % des feuilles imprimées ne sont jamais utilisées !
- 38% des gens impriment leurs e-mails dans l'unique but de les lire.

Aujourd'hui, la consommation de papier en Région Bruxelloise représente 16.700 tonnes/an et constitue la première source de déchets, les déchets de bureau constituent la seconde source de déchets.
La dématérialisation, une pratique responsable


Nos modes de consommation sont gourmands en ressources naturelles et en énergie. L'empreinte écologique indique qu'il faudrait disposer de 3 planètes pour subvenir aux besoins de la population mondiale, si chacun consommait comme un Belge moyen. Cette consommation induit des problèmes environnementaux (raréfaction des ressources, perte de biodiversité, déchets et pollutions...) mais aussi sociaux (inégalité vis-à-vis de l'accès aux ressources).

Face à ces problèmes, la dématérialisation apparaît comme une voie de progrès permettant d'alléger l'impact environnemental de nos modes de consommation. En effet, il s'agit de répondre aux besoins en utilisant moins de ressources et moins d'énergie. Diverses propositions existent comme le remplacement d'un produit par un autre produit nécessitant moins de ressources, le remplacement d'un produit par un service, ou encore la mise en ligne de documents autrefois publiés sur papier, l'offre d'une place de théâtre plutôt qu'un objet.


La dématérialisation au quotidien
La dématérialisation peut prendre différentes formes adaptées à chaque consommateur, à chaque ménage, à chaque famille. Les exemples sont nombreux, parcourez la liste et devenez un consommateur dématérialisateur!

- Offrir des cadeaux sans déchets: services, abonnements;
- Limiter les impressions papier, lecture à l'écran;
- Utiliser des langes réutilisables: une économie de 444 euros par enfant (2,5 ans);
- Louer du matériel et des équipements peu utilisés: voiture, caravane, matériel de bricolage, d'entretien de la maison, etc.

Aujourd'hui, on peut louer du matériel de jardinage, de l'outillage, du matériel pour organiser des fêtes (vaisselle, couverts, tentes), du matériel de santé, du matériel de loisirs, du matériel sportif ou d'équipement de la maison, de vêtements de cérémonie, mariage et communion, des costumes de théâtre, matériel de sonorisation, d'éclairage, des systèmes de chauffage d'appoint, des conditionnements d'air et des humidificateurs, des motor-homes, des bicyclettes, des remorques, des voitures, des camions et camionnettes, un taxi, une navette, du matériel de puériculture


- Partager voitures, livre, magasines, vidéos, outils, jouets, caravanes, articles petite enfance, vaisselle, lave-linge;
- Acheter à plusieurs familles des équipements électroménagers: lave-vaisselle, machine à laver, électroménager, équipement de la maison, bricolage, etc.;
- Réutiliser du matériel: palettes, emballages, etc.;
- Utiliser des structures collectives: lavoirs collectifs, transports en commun, nettoyage du linge, nettoyage de véhicules;
- Utiliser des services: jardinage, abattage d'arbres, aide ménagère, blanchisserie, car sharing...;
- Remplacer un achat:de livres, CD, DVD par une location;
- Utiliser les nouvelles technologies: paiement électronique, téléchargement de musique et de film, de document administratifs;
- Remplacer des produits jetables par des produits plus durables: langes, sacs de caisse, …;
- Acheter des produits consommant moins de ressources: produits d'entretien concentrés, piles rechargeables;
- Acheter des produits utilisant moins de ressources: électroménager éco-efficient;
- Consommer de l'eau du robinet.





vendredi 8 mai 2009

Le Biottin nouveau est arrivé!




L'association Nature & Progrès propose deux initiatives dans le domaine de la culture biologique.

- Portes ouvertes dans les jardins, habitats, entreprises et fermes biologiques en Wallonie et à Bruxelles : rencontres, découvertes, échanges.
[ Téléchargez le calendrier des portes ouvertes
]


- Le Biottin Alimentation 2009-2010, est arrivé.

Créé par Nature & Progrès Belgique, le Biottin répertorie les lieux de vente de produits bio en Wallonie et à Bruxelles. Sont également pris en compte : les livraisons à domicile, les systèmes de vente par paniers, les restaurants de cuisine certifiée biologique, les fermes pédagogiques, les gîtes et les campings dans des fermes bio, etc.
[ Téléchargez le Biottin Alimentation ]


Infos : 081/30 36 90 www.natpro.be, natpro@skynet.be.

(source IEW )